La présence de vie sur vos planètes-soeurs (1/2)

Publié le par Aurélia LEDOUX

La présence de vie sur vos planètes-soeurs (1/2)

Message d'Orel

 

Nous vous saluons bien amicalement, vous tous, chers amis de Lumière de ce temps.

 

Vous qui doutez, qui trébuchez, nous aimerions vous rassurer, vous dire combien votre courage est grand. Vous avez embrassé votre vérité intérieure, vous manifestez ce que vous êtes vraiment au fond de vous-mêmes, chaque jour qui s'en vient.

 

Vous arrivez à déceler la nature profonde de ceux qui vous entourent, avec bien davantage d'aisance. N'en soyez pas surpris, cela est normal. Vous possédez désormais, pour la plupart d'entre vous, cette double lecture, celle du cœur, de l'intellect aussi.

 

Elles se superposent et se rejoignent parfois, pas toujours. Désormais, de plus en plus, vous pouvez anticiper les possibles qui viennent à vous, et aussi bien sûr, aider autrui avec efficacité. Tous vos proches désemparés voient en vous un être serein, dirions-nous, et cela est important.

 

Cette ouverture du cœur, cette douceur, cette acceptation de l'autre, sont ce dont votre monde a le plus besoin. Vous êtes tous frères et sœurs, par delà les pays, les nations. Et évidemment, tout ce qui a été mis en place dernièrement est fait pour vous diviser, tout en empochant des bénéfices juteux au passage, bien entendu.

 

Les accapareurs, les profiteurs de votre monde voient leur dernière heure arrivée. Tout ce qu'ils ont acquis indûment, ils devront le rendre, jusqu'à la dernière miette. Cela est un fait.

 

Il existe déjà plusieurs planètes peuplées d'humanoïdes tels que les vôtres, qui ont été libérées ces derniers temps. Ces êtres vous ressemblent beaucoup, même si leur biologie diffère légèrement. Ils ont espéré et attendu, ils ont prié, et ont reçu une aide bienvenue.

 

Cette aide a été possible parce que leurs cœurs étaient ouverts, ils rayonnaient de lumière. Vos scientifiques, qu'ils soient ufologues ou astronomes ne possèdent pas tous cette ouverture. Toute vérité qui passe par l'intellect en premier est amoindrie en sa puissance, est déformée.

 

Par exemple, vos scientifiques ont catalogué Vénus et Mars comme des planètes où la vie est impossible, la première étant trop chaude, la deuxième trop froide. Ils sont incapables de songer à d'autres possibilités. Il existe un grand nombre de dimensions, de feuillets, si vous préférez, qui entourent chaque planète. Chacun de ces feuillets constitue un plan, un royaume où la vie peut s'établir. Chacun d'entre eux vibre suivant une fréquence qui lui est propre.

 

La matière-énergie qui constitue votre corps, et celle qui vous entoure, celle de toute vie est en train de passer sur la strate dimensionnelle suivante, comme cela a déjà eu lieu sur Mars et Vénus.

Les étagements de vie présents sur Vénus, sont maintenant présents sur la sixième dimension. Son peuple, ses animaux, et sa vie végétale et minérale, ont été intégralement déplacés sur la dimension suivante.

 

Bien sûr, il reste un peu de vie minérale et organique sur cette planète, semblable à celle qui existe par exemple à Dalol, en Éthiopie. Si vous vous y promeniez, vous en rencontreriez peut-être un peu.

 

La planète Mars, qui est un monde que nous aimons profondément, a elle aussi été transmutée. Sa vie est surtout présente en sous-sol et au niveau de son monde intérieur.

 

Les strates internes de chaque planète correspondent au lieu où vivent les esprits les plus purs. Ces strates sont habitées de nombre de nos cités, et elles vibrent suivant une fréquence telle que seuls ceux qui sont dignes peuvent y entrer. Vos anciens le savaient bien, c'est pourquoi ils ont émigré en grand nombre sur de telles dimensions des infra mondes.

 

Pour Mars, la situation bien sûr est un peu particulière, car il y a eu des guerres terribles sur cette sphère. Tout le sol a été retourné et tout ce qui existait, à savoir de magnifiques cités de pierre, des palais et des jardins fastueux, mais aussi des pyramides, tout cela a été détruit ou gravement endommagé. Il reste nombre d'arasements de ces cités, nombre de formes de vie aussi, essentiellement des animaux fouisseurs, des algues et quelques plantes désertiques.

 

Concernant cette vie, elle a été intégralement reconstituée et transmutée elle aussi, pour renaître au niveau des plans intérieurs de Mars, qui regorgent de vie végétale luxuriante, de brillantes cités où vivent des chercheurs et des cultivateurs paisibles. Ces lieux prospères sont aussi la résidence des grands esprits de Lumière qui protègent cette planète.

 

D'aucuns sur votre monde aimeraient bien s'y rendre, non pas pour faire connaissance avec les habitants de ces royaumes, mais pour mettre de l'ordre, « conquérir », comme ils disent. Et cela est amusant, car évidemment, tout ce qu'ils trouveront sur Mars, ce sont du sable et des cailloux.

 

C'est aussi de cette manière que les mondes subtils se protègent. Celui qui vient avec une arrogance aveugle au cœur, ne peut bien sûr jamais visiter les hautes dimensions de ces mondes. Les armes, ce que vous appelez supériorité technologique ou autre, ne permettent aucunement de franchir les passage subtils menant à l'intérieur des mondes. Tout ce qui est menaçant ou dangereux, est aussitôt dissous par la radiance blanche qui protège ces lieux de vie.

 

Mais ceux qui viennent avec le cœur pur, tout en ayant gardé leur âme d'enfant sont les bienvenus. Nous recevons régulièrement des êtres provenant d'autres peuples, que nous pourrions qualifier d' « ennemis », au départ, bien que nous n'aimions pas ce mot.

 

Pour nous bien sûr, il n'est pas d'ennemis, à part celui que l'on croit trouver en face de soi. Nous ne jugeons pas un être par rapport au peuple auquel il appartient. Nous regardons avant toute chose quelles sont ses aspirations, ses intentions, et cela est une heureuse surprise.

 

Nous avons ainsi pu accueillir et soigner beaucoup d'humanoïdes, des reptiles, mais aussi des formes de vie étranges qui vous dérouteraient bien.

 

Il me montre un être qui ressemble un peu à une grenouille au niveau de la tête, dont la texture semble molle, et dont la peau a l'air soyeuse, ses mains sont étranges, terminées de sortes d'excroissances. L'être semble amical et ses yeux expriment un grand contentement. Ensuite, il me montre un autre être incroyable, dont la forme est quasi liquide, qui semble proche de la cire, il est d'une teinte bleu ciel et flotte au dessus du sol. Cet être n'a pas de visage, on voit juste ce qui ressemble à deux yeux, les membres peuvent apparaître ou se rétracter à volonté.

 

Nous sommes confrontés en permanence à un grand nombre de formes de vie très variées, reprend Orel, et il est très important de ne pas se fier à son premier ressenti. Une chose est sûre, c'est que nous devons soigner tout le monde. Nous ne sommes pas soigneurs, expose t-il en empruntant un couloir bleuté. Nous sommes juste chargés de les trouver et de les mettre en confiance.

 

Il passe le long d'une grand baie vitrée qui révèle l'intérieur d'une salle magnifique. On y voit des palmiers en parfaite santé, des massifs de plantes, de l'herbe et une sorte de terrasse avec des tapis, puis du mobilier minuscule.

 

Des aliens très frêles occupent ce lieu, mais la plupart sont quasi invisibles. Il ne reste d'eux qu'à peine une silhouette fantomatique. Ils sont de teint très varié, nacré, bleu, gris ou vert.

Les enfants semblent un peu perdus, ils tentent d'échanger, puis découvrent des livres, mais aussi beaucoup de jeux de l'esprit, et ce qui ressemble à des peluches. Chacun des enfants est intrigué et choisit un jouet avec hésitations. Leurs grands yeux s'arrondissent d'une joie presque douloureuse.

 

Ces enfants viennent d'arriver, explique Orel. Nous tentons de les acclimater au mieux, ils ont du mal à s'adapter. Ils sont terrifiés à dire vrai. Ils sont très jeunes et nous les arrachons régulièrement à une vie de servitude et d'esclavage. Cela a lieu lorsque des convois miniers croisent par des couloirs de navigation trop étroits. Ils heurtent alors des astéroïdes. Bien sûr, personne ne va réclamer ces enfants abandonnés qui travaillent en salle des machines, à bord, ou sur des cités minières éloignées. Nous trouvons bien sûr tout cela inacceptable.

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : 

 

Publié dans Messages

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article