La traversée des mondes souterrains 3/3

Publié le par Aurélia LEDOUX

La traversée des mondes souterrains 3/3

 

Message du Guérisseur Lestrys

 

Un autre ami qui veut te parler,

 

C’est moi, le guérisseur Lestrys, de nouveau là pour vous conter ce péril du Monde Intérieur.

 

Oui, j’en étais resté au moment de notre récit, où, cheminant dans les royaumes souterrains, nous avions découvert cette Grande Porte de Lumière.

 

Le petit alien ombrageux qu’était le généticien Halkrys, s’était mué peu à peu en un être plus compréhensif et plus posé en toutes choses.

 

Le premier Nimalinsu et lui, conversaient longuement durant ce voyage. Je dois dire que le paisible alien a eu une influence extrêmement positive sur mon ami et fidèle compagnon. Oui, car il inspirait la sagesse, la magnanimité.

 

Nous étions parvenus au rebord du monde intérieur et je dois dire que plusieurs choses très étranges se produisirent alors.

 

Notre chenille empruntait une belle galerie de pierre claire et rosée très lumineuse et d’un coup, la gravité s’est modifiée. Au lieu de cheminer sur ce que nous pensions être le sol de cette galerie, notre véhicule s’est peu à peu déporté de sa trajectoire.

 

Il m’a fallu agir sur les commandes avec célérité.

 

Le petit vaisseau s’est rapproché, peu à peu, du plafond !!!

 

Eh oui, nous étions à l’envers, et je lui fis prendre de l’altitude afin d’éviter les nombreuses chandelles de pierre qui parsemaient notre chemin, de peur de briser un seul de ces très beaux édifices millénaires.

 

Mais au fil de notre avancée, les chandelles de calcite se firent plus rares, et il n’en vint presque plus.

 

Je regardais le plafond et ô surprise, les draperies millénaires avaient retrouvé leur place au sommet de notre voûte qui s’était inversée !!!

 

Le générateur antigravitationnel fonctionnait bien, je le contrôlais à plusieurs reprises mais tout semblait pour ainsi dire normal, même si nous volions la tête en bas.

 

  • Me direz-vous les raisons de ces fantaisies ? grinça le généticien Halkrys. Nous ne sommes point venus en un tel lieu pour y effectuer des acrobaties !

 

Effectivement, il avait de quoi être inquiet, le petit Uldrax s’était éveillé, rudement secoué par les trépidations et il pleurait sans s’arrêter.

 

Je crus bon de faire une pause pour instruire mes compagnons. Je les rassurais.

 

  • Cela est parfaitement normal, nous sommes passés en ce lieu où la gravité est inverse, dès lors que nous avons franchi le plancher magnétique.

 

Ce plancher est en dessus de nous, mes amis, et il n’est nul danger. Il nous protège des jaillissements de lave, aussi, et même si ce lieu est bien chaud, je ne perçois nulle menace.

 

Il faisait en effet une chaleur étouffante et après une inspection minutieuse de la chenille, nous avons décidé de reprendre notre route. Toujours prévenant, le valet Ephéniem avait recueilli de l’eau mystérieuse au ras de la paroi.

 

Celle-ci nous fit un bien immense, apaisa notre suffocation et calma même le petit Uldrax.

 

  • Vous sembliez surpris de ces soubresauts, émit le premier Nimalinsu avec un air amusé, alors que je reprenais mon poste de pilotage.

Je regardais le sage qui souriait sereinement, nulle peur ne venant troubler la brillante flamme de son regard.

  • Effectivement, ce retournement était imprévu. Je dois admettre que tout ceci est très étrange pour moi aussi, mais c’est bien la route à suivre.
  • Je n’en doute pas un seul instant, reprit le premier en riant. Je me demande juste comment vous parvenez à nous guider, puisque cela est la première fois que vous empruntez ce passage...
  • Assurément oui, cet endroit m’est inconnu, mais tout ce que je ressens m’incite à continuer dans cette direction.
  • Je suis de votre avis, je le ressens aussi. Je souhaitais juste vous l’entendre dire, reprit le sage. Ces petits sont vaillants mais exténués. Si nous nous fourvoyons, ce sera un grand risque pour eux.

 

Le petit Uldrax poussait de temps à autre un sanglot étranglé. Halkrys le consolait de son mieux, mais le jeune clone tremblait de faiblesse.

Mes compagnons et moi-même, étions aussi incommodés que le petit être par les très hautes vibrations d’énergie emplissant ce lieu.

 

Je fis prendre une vitesse très honorable au petit vaisseau. Nous sommes parvenus à de belles arcades basaltiques absolument immenses, je dirai d’environ 300 de vos mètres de large, il en existait de nombreuses, en de très denses ramifications. Ces tunnels de lave fantastique formaient comme un dédale de pierre noire, sillonnée de petits cristaux.

 

Il nous fallait tous nos sens d’aliens parfaitement déployés, pour parvenir à bien nous repérer dans ces tunnels.

 

Incommodé par la radiance, Uldrax  tremblait de plus belle, comme s’il eût de la fièvre. Nous lui avons fait absorber encore un peu d’eau mystérieuse, qui l’apaisa à peine.

 

  • Puis-je voir cet enfant ?  s’enquit le sage Nimalinsu.  
  • Que lui voulez-vous ? demanda Halkrys avec quelque vigueur
  • Rien de plus que l’apaiser, soyez sans crainte…
  • Ma science y est impuissante, je le reconnais, admit Halkrys avec inquiétude.

 

Et il lui tendit le petit Uldrax, qui se convulsait à moitié.

Nimalinsu le berça près de lui et le rassura de paroles douces. Son épouse retira le manteau et la tunique du petit alien. Sa petite silhouette chétive apparut. On voyait sur son corps malingre comme des zones en forme d’étoile, sillonnées de veines apparentes.

Nimalinsu étala un remède sur les zones étranges.

  • Que signifient de telles lésions ? s’inquiéta Ephéniem la voix tremblante
  • On dirait que son système circulatoire est perturbé, le métabolisme aussi. Je n’en sais pas plus. Ce remède rafraichit, expliqua le sage.

 

Il étala encore du remède qui dégageait une douce senteur aromatique. Le petit Uldrax tremblait quelque peu, mais il cessa de gémir.

  • Je ne saurai assez vous remercier, émit Halkrys avec reconnaissance. On aurait dit qu’il allait avoir une crise de quelque chose.
  • Oui, en effet, il a besoin de se sentir rassuré et vous êtes pour cela le mieux placé, fit le sage.

 

Uldrax tendait en effet les bras vers lui. Tout heureux, Halkrys le reprit sur ses genoux, en bégayant des remerciements et des bénédictions.

 

Cela tombait à pic, car notre petit transport survola un important lac de lave en mouvement. J’activais les boucliers à répulsion, pour éviter de gros blocs de roche en fusion qui jaillissaient avec vigueur. Je fis prendre de l’altitude au petit navire, de sorte à frôler le plafond et fonçais au dessus du magma. Les plus jeunes se couvrirent les yeux. On entendit les chocs sourds produits par les blocs que repoussait le déflecteur, puis, nous sommes parvenus au dessus d’un vaste fleuve de lave, à l’écoulement plus serein. Ce fleuve, et nous en étions tout inquiets, se déversait dans un puits immense. Cette fois, je fis prendre encore de l’altitude au vaisseau. Nous sommes descendus par ce puits, avec précautions, et nous sommes parvenus en une galerie qui s’ouvrait dans la paroi, en une zone claire et jaunâtre.

 

Cette galerie au sol pierreux se révéla un lieu accueillant.

 

Comme la fois précédente, je sortis pour brosser le toit du petit vaisseau, avec le balai prévu à cet effet. Cette fois, Halkrys m’aida. Le petit Uldrax, épuisé, dormait entre les bras d’Ephnéniem.

 

La caverne dégageait une odeur très agréable de senteurs minérales, d’humidité et ... d’humus.

 

Nous avons enfilé plusieurs galeries saumon, ocre, puis jaune pâle, où la roche était taillée avec le plus grand soin. Et là, nous avons franchi d’autres passages chargés d’énergie, comme des rideaux électriques, une énergie immense nous traversait entièrement à chacune de ces occasions. Mes compagnons étaient habitués de ce phénomène à présent.

 

Une salle extraordinaire se révéla à notre regard, elle était peuplée d’animalcules phosphorescents flottant dans l’air. Certains ressemblaient à des coquillages, à du phytoplancton, d’autres à de très petites méduses. Au bas de la roche, poussaient des plantes inconnues de type bio minéral, proches du corail et des stalagmites, celles-ci étaient entourées de lichens, d’algues et de mousses, mais rose pâle.

 

Et, visibles entre les mousses, des myriades de champignons de toutes les couleurs buvaient l’eau d’une petite source. Nous en étions si émus, que nous avons versé des larmes de joie.

 

Au pied de ce mince filet d’eau, des sortes de lentilles d’eau éclairaient la roche et le sol, elles étaient illuminées d’une intense lueur dorée.

 

C’était vraiment un très beau spectacle. Nous avions faim, mais tout cela était si beau, que nous n’osions même pas cueillir puis goûter le moindre champignon.

 

Notre vaisseau continua son avancée, et nous avons alors débouché dans un couloir de pierre blanche et rosée très haut. Ce couloir, parfaitement taillé et poli était décoré de superbes colonnes, sculptées de manière impressionnante. Chaque colonne faisait environ 30 mètres de haut.

 

Cela formait comme un péristyle, mais en bien plus accueillant que chez vous, on avait l’impression que tout cela avait été sculpté de la veille, car la roche semblait neuve.

 

Plus loin, une salle très grande, éclairée d’un blanc brillant en de vastes rais de lumière oblique, révéla un grand nombre de statues finement ciselées. Il y avait des aliens, des humanoïdes et des êtres semblables à des animaux, mais avec un corps d’homme ou de femme. Chaque statue émanait une forme différente de bonté. Chacun de ces êtres dégageait une grande aura de force de paix et de douceur.

 

Notre petit vaisseau ne pouvait aller plus loin. Une porte minuscule faisait face à la salle. Nous l’avons garé, à côté d’autres vaisseaux semblables et nous avons donc continué à pied.

 

Cela n’était point chose aisée, car nous avions beaucoup de bagages. Mais nous nous sentions soulevés par une force inconnue. Les aliens portaient tous de lourds chargements, à l’exception des plantes et de leurs livres qu’il leur fallut laisser.

 

Ephéniem, de même que les valets les plus grands, portaient un chargement considérable, en plus des enfants les plus jeunes.

 

Nous sommes parvenus à de grandes salles toutes décorées de frises, de parements et de colonnes superbes. Puis, nous avons franchi des rayons de lumière, qui formaient comme des voiles d’énergie devant nous. Ces voiles étaient turquoise, rose, or, puis bleu pastel et enfin blanc.

 

Nous sommes parvenus en un lieu tout à fait étonnant. Un pont de pierre se dressait devant nous, mais nous ne pouvions en voir qu’une partie. L’autre semblait comme brisée et ce pont, donc, s’interrompait en plein vide.

 

Ephéniem s’interrogeait.

Prenant la tête, Halkrys a pris pied lui-même sur le pont, avec un grand courage.

Il s’avança lentement, jusqu’à l’extrême bord de la partie endommagée, et … continua tranquillement sa route.

 

  • Venez mes amis, dit-il, cela est sans danger, même si ce pont est fort étroit et dénué de rambardes.

Au moment où il disait cela, un très beau pont, solide et garni de balustres richement ornés apparut.

 

Nous nous sommes regardés en riant de bonheur, chacun de nous a franchi cette très belle arcade de pierre dorée. Nous avons alors ressenti une énergie prodigieuse nous apaiser de la tête aux pieds.

 

Nous étions arrivés quelque part !

 

Notre chemin se poursuivit en un très long escalier tournant, garni lui aussi de frises, de statues et de bas-reliefs en métal étincelant ou en pierre dorée.

 

Il y avait même de ravissantes aliens sculptées sur ces parements et tout cela nous remplissait de bonheur. Chacune de ces œuvres était d’un goût exquis.

 

Mes compagnons et moi-même, avons atteint le bas de l’escalier et je dois dire que j’en étais tout étonné.

 

Au lieu de déboucher sur le Grand Boulevard de la Rédemption, nous étions en un petit couloir bien doré et finement incrusté lui aussi de motifs, d’inscriptions et de parements splendides.

 

Ephéniem, qui avait très à cœur de déchiffrer certains hiéroglyphes, s’arrêta un court instant, mais ne put les lire.

 

Devant nous, une petite galerie de pierre blanche parut, avec d’autres groupes d’aliens et d’humanoïdes. Certains menaient des troupeaux d’animaux, qui se laissaient guider en toute confiance.

Le plafond était une voûte de pierre rosée admirable. Et loin devant nous une lueur vive attira notre regard. Une porte extraordinaire nous faisait, face, c’était la Porte d’entre les Mondes ! La porte du Royaume Intérieur !!!

 

Nous étions arrivés au Royaume !

 

Notre avancée se fit plus rapide. Devant nous des hommes et des femmes de lumière apparurent, ils nous saluèrent avec chaleur, avec des paroles de bienvenue très aimables, rien qui ne ressemblait à ces formules toutes faites, mais quelque chose qui vient bien du cœur.

 

Nous nous sommes avancés vers les portes, notre cœur battait très fort.

 

Nous avons gravi un petit escalier. Là, des guides versèrent sur notre tête une eau particulière chargée de senteurs florales. Ils examinèrent nos mains et y étalèrent des onguents pour ceux qui étaient blessés, puis ils nous désignèrent un petit transport en attente d’appareiller.

 

Nous avons avisé un petit vaisseau de forme arrondie et allongée, couleur saumon, avec environ six places visibles à bord.

 

Nous sommes montés dans le vaisseau, mais celui-ci était plus spacieux qu’il n’y paraissait, nous y étions très à l’aise.

 

Nous n’avions d’yeux que pour le paysage verdoyant face à nous. Mes larmes coulèrent, même si je connaissais déjà tout ceci. Il était si bon de revenir au pays !

 

Une herbe émeraude en pleine santé s’étendait à perte de vue sur le versant d’une très vaste montagne. Le ciel était ce mélange incomparable de bleu céruléen, de lumière incandescente et de volutes rosés, tout ce tournoiement de couleurs était un enchantement pour les yeux.

 

Mes compagnons pleuraient comme moi. Un petit jeune homme avenant au visage paisible, nous salua et fit décoller le navire.

 

Ce dernier survola la vaste montagne et atteignit bientôt une vallée absolument étourdissante, garnie d’arbres immenses, de prairies miroitantes de fleurs et de glaciers estivaux loin en hauteur.

 

Tout cela était absolument superbe, mon cœur fut empli de gratitude à la vue de tant de beauté.

 

Un édifice semblable à un mélange très abouti entre une villa et une église apparut. L’édifice, de pierre et de bois était tout blanc et une tonnelle l’entourait, avec une haute tour garnie d’instruments de sondocopie, visiblement.

 

  • C’est un lieu de guérison expliqua le pilote. Entrez donc, vous y êtes attendus.

 

Je reconnus aussitôt cette belle véranda que j’avais déjà vue auparavant. Nous sommes donc descendus du petit vaisseau.

 

Et là, ô surprise ! Tous mes compagnons étaient venus à notre rencontre. Ils m’étreignirent chaleureusement. Chacun d’entre eux avait préparé des remèdes pour les enfants et pour tous mes amis.

 

De même, les bagages que nous avions cru abandonnés étaient là, ainsi bien sûr que les formidables petits arbustes que mes amis avaient pu sauver, dont le feuillage luisait de santé. Ils étaient comme impatients d’être enfin plantés en ce lieu de pureté.

 

Les plus jeunes enfants furent menés en des salles de régénération cellulaire, de ressourcement, et de purification mémorielle. Tous ces petits avaient vécu des épreuves antérieures périlleuses. Les adultes étaient plus alertes, mais tous, nous avions besoin de plusieurs nuits de repos.

 

Nous avons dormi un temps vraiment très long. Nous étions dans des chambres très accueillantes imprégnées d’une énergie de guérison diffusée par une étrange lumière bleue, très douce au regard d’un dormeur.

 

Nous nous sentions mieux que bien.

 

A u bout de ces deux jours nous avions repris des forces, mais nous étions affamés.

 

Nous nous sommes dirigés vers une table, où des mets délicats nous attendaient. Des Êtres de Lumière charmants nous reçurent et ils nous servirent en riant de bonheur. Par la fenêtre nous pouvions voir l’herbe scintillante, et très loin en contrebas, des villages, des petites zones semblables à des sites de vacances, où vivaient les habitants du monde intérieur.

 

Des vaisseaux argentés passaient de temps à autre dans le ciel en un sifflement à peine perceptible et des nuées d’oiseaux, d’insectes se posaient sur la végétation florissante alentours. Je contemplai mes compagnons et lut dans leurs yeux la même joie immense, la même félicité absolue, que rien ne pourrait entamer.

 

Le généticien Halkrys parla :

 

  • Si j’en avais espéré un jour autant … dit-il, ses yeux laissant échapper des larmes
  • Rien n’est trop beau pour ceux qui croient, pour ceux qui ont foi en un avenir meilleur. Vous avez traversé des jours sombres, avec vaillance et courage, vous méritez un tel cadeau.
  • Quel est donc ce pays. S’agit-il d’un rêve ? s’enquit-il
  • Nullement, Tout cela est bien réel. Vous êtes réel, je le suis aussi. Ce lieu est un lieu de guérison psychique et physique pour ceux qui ont osé franchir la Grande Porte.

 

Le petit Uldrax gazouillait auprès de lui. Le petit alien semblait absolument radieux, il avait été soigné comme tous mes compagnons.

  • Je vous remercie, brillant ami, de nous avoir menés jusqu’ici, fit Halkrys avec bonté
  • Oui, moi aussi, assura Ephéniem avec gravité   

 

Tous mes compagnons me remercièrent. J’étais très ému.

  • Je vous exprime pareillement toute ma gratitude, cela a été un grand plaisir de cheminer en votre compagnie.  Vous êtes une famille à présent, et tout est pour le mieux.

 

Alors, tous ensemble nous nous sommes étreints, immensément heureux.

Une musique allègre résonna dans une autre aile de l’édifice et nous avons continué à converser joyeusement.

 

Cela a été un très grand plaisir de donner ce message, de vous relater ce périple, et je vous suis reconnaissants à vous aussi, amis de la Terre du dessus. C’est un grand bonheur pour moi de songer que vous avez lu tout ceci avec intérêt.

 

Je suis votre ami, le guérisseur Lestrys et je vous salue bien chaleureusement,

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

Publié dans Messages

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F
Le bonheur est pour moi , ces messages sont intéressants et fascinants . Merci au généticien Lestrys qui les narre et à vous Aurelia qui les transmettez
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M
Bonjour. très bel article. très intéressant. un beau blog. Vous pouvez visiter mon univers. lien sur pseudo. à bientôt. bises
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T
Bonjour Aurélia,<br /> Le professeur Zolmirel s'est il déjà prononcé sur l'histoire ancienne de la planète? en particulier les dinosaures. On trouve sur google "canular dinosaures" l'histoire de la découverte des dinosaures à partir du 18ème S (plutôt une dent ou un os par ci par là) alors que personne n'en avait retrouvé avant. Les dinosaures ont ils réellement existé d'après le professeur Zolmirel?
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A
J'ai bien peur de ne pas vous suivre. Que voilà une étonnante question. Oui, les dinosaures ont existé, il suffit de voir la quantité de fossiles déterrés, qui est prodigieuse ! Des échantillons de plumes ont aussi été retrouvés. Certains animaux, comme les crocodiles, ainsi que les oiseaux, sont leurs descendants bien vivants d'après les plus récentes études. <br /> <br /> Très cordialement,