Mars : la vérité (2/2)
Une vie enfouie sous le sable, qui émerge des clichés
Voici la suite de cet article, dont la première partie se trouve juste ici :
Il est élaboré à partir d’images, qu’il convient de bien agrandir pour vous faire une idée juste.
En effet, la quasi-totalité des images de la NASA apparaît patiemment retouchée au grossissement, afin que le grand public ne perçoive pas de détails trop incongrus.
C’est ce que nous explique Donna Hare, une scientifique qui affirme avoir eu recours à la technique de l’aérographe, pour masquer des constructions, entre autres, et également plusieurs personnes qui ont travaillé à la NASA.
Le sergent Karl Wolfe témoigne également sur la page suivante, très intéressante, et met au cause le niveau de résolution des instruments.
http://feairplane.canalblog.com/archives/2013/06/05/27334856.html
Même si l’on éprouve une vive admiration pour les chercheurs de la NASA, force est de reconnaître que les clichés des sondes sont d’une résolution trop pauvre au grossissement.
Seuls les chercheurs accrédités peuvent accéder aux vrais clichés, le grand public ne peut télécharger que des versions basse résolution, d’à peine 2 Méga pour les meilleures.
Afin de pallier à ces difficultés et pour faire croire à une haute résolution de 16 Mo, les photographes assemblent entre elles plusieurs vues bien floutées de Curiosity.
Il en résulte des panoramas, certes admirables, mais bien pauvres en détails au niveau du sol, comparés à une prise de vue sur Terre avec un appareil numérique bas de gamme.
Pour se faire une meilleure idée, il convient d’examiner les clichés couleur de Spirit, puis Opportunity, et enfin Curiosity. Leur nombre et leur qualité décroit avec le temps, malgré les performances exceptionnelles des satellites de prise de vue, comme ceux de Google Earth.
Mais, bien plus tôt, le physicien Gilbert Levin nous a avertis de ces manipulations arbitraires de clichés, qui datent de 1976, lorsque la sonde Viking produit la première image historique de Mars, intégralement vermillon.
Tout ceci est réellement bien dommage, et il est grand temps que les chercheurs honnêtes de la NASA et de l'ESA, prennent le pas sur les instigateurs réels de ces maquillages.
Persister à nier l’évidence, nuit à l’image de marque des agences spatiales auprès du public, qui se doute évidemment bien de tout ceci.
Les raisons les plus communément admises pour expliquer autant de mensonges, sont économiques et liées à la présence probable de gisements sur Mars.
Si une quelconque vie est découverte, bien sûr, les chercheurs voudront aussitôt l’étudier, et en faire éventuellement une réserve naturelle, une zone protégée, comme l’Antarctique.
Dès lors, cette vie bien encombrante, est un obstacle pour l’extraction minière de pétrole, d’uranium, de koltan ou de diamants, dont les ressources s’épuisent sur notre monde. L’hypothèse la plus vraisemblable, est donc qu’elle soit systématiquement balayée des clichés, pour ne pas être découverte.
Mars doit rester une planète aride, rouge, inculte, dans les esprits, pour justifier parfaitement sa future colonisation.
Les nombreux rovers envoyés sur Mars, semblent donc là exclusivement pour effectuer de la prospection minière (à nos frais bien sûr).
La mission prétendue de recherche de la vie de Curiosity, ne semble qu’une façade médiatique commode, pour tracter des fonds. Car, cette sonde n’a pas l'air d'avoir découvert grand chose de neuf, à part l’eau salée, déjà annoncée par Gilbert Levin 40 ans plus tôt…
Il est en effet très difficile de trouver des cartes géologiques de Mars pour les étudier, et on se demande bien au final où ces travaux atterrissent.
Mars est ainsi considéré comme un monde vierge, mais aride, et l’homme de la Terre dans son arrogance, veut en devenir le maître sans se poser de questions sur son environnement.
Comme certains le font hélas déjà, sur Terre.
Tout ceci afin de revendiquer la propriété de ses différentes régions et de se les partager comme un butin. Mais cela est-il bien légitime ?
Car Mars ne saurait nous appartenir de droit. Y débarquer serait prendre le risque de malmener la vie d’un monde que nous ne connaissons même pas.
Nous en savons encore très peu, et seule la surface de la planète a été en partie explorée. Nous ne savons toujours pas si son sous-sol est habité ou non par des êtres discrets. Ces êtres sont certainement bien plus avancés que nous, s’ils parviennent à vivre dans un tel environnement.
Le colonialisme terrien sur Mars, prend de plus en plus l’allure d’une forme de déviance industrielle, qu’il serait vraiment souhaitable d’éviter.
La vérité semble être bien différente, compte tenu du nombre incroyable d’anomalies martiennes que l’on trouve en faisant une simple recherche d’images Google.
Ces anomalies ressemblent à des plantes, des animaux, mais aussi des ruines immenses et de vastes installations souterraines. Tout cela laisse songer que Mars a sûrement déjà été habitée, voici très longtemps et qu’elle l’est peut-être encore, par nos ancêtres lointains. Qui sait ?
Cela fait de nombreuses pistes à explorer, trop longues pour ce bref article.
Afin de poursuivre, en images donc, la tromperie des images martiennes remonte à loin. Sans la bravoure de ces personnes qui ont brisé la glace du mensonge économico-scientifique, le grand public ne serait pas au courant de ces maquillages de clichés.
Heureusement, les choses sont en train de bien changer, puisque pour la première fois, la sonde MOM, puis la sonde Rosetta nous ont livré des clichés de Mars exempts de manipulations.
Nous avons donc affaire à de nouvelles missions dont les scientifiques proposent cette fois des clichés avec des couleurs bien plus satisfaisantes.
Donc bravo à leurs auteurs !
Qu’ils soient remerciés pour nous faire partager ce beau spectacle.
Il est notamment question de ce cliché, très particulier :
Sur cette image, on voit bien que Mars est une sphère ocre, qui émet une réverbération intense de la lumière, comme on peut le constater mieux ci-dessous :
http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2014/02/Rosetta_s_self-portrait_at_Mars
Cet éclat sature les instruments de prise de vue, au point qu’ils doivent baisser l’ouverture de leur diaphragme pour réaliser cette superbe vue. Il est la preuve que l’atmosphère de Mars est bien plus dense que le prétendent les chiffres officiels.
Une réverbération si intense, la présence d’une atmosphère bien constituée à certains endroits, nous amène évidemment à nous demander, si certaines régions abritent une vie endémique.
La réponse semble être oui, et bien sûr, les clichés parlent en ce sens.
Cependant, c’est à chacun de se faire une idée.
Le but de cet article n’est pas de démontrer absolument un précepte, mais de tenter d’apporter certaines pistes par des éclairages inédits.
Toute contribution en images martiennes inattendues est la très bienvenue.
Sur ce cliché en apparence banal, que mon amie Chantal m’a si aimablement envoyé, on peut voir nombre de détails surprenants.
Je tiens à la remercier très vivement pour toute son aide précieuse.
http://mars.jpl.nasa.gov/msl/multimedia/raw/?rawid=NRB_503679013EDR_F0520000NCAM07753M_&s=1196
Cette image est censée nous présenter un cône d’éboulis, une formation fréquente sur Terre, et une zone où le sable a formé des accumulations, sous l’effet du vent, de la fonte saisonnière du pergélisol. Cependant, elle comporte nombre d’incongruités tout à fait frappantes.
La première de ces incongruités, qui saute bien aux yeux lorsque on y regarde de près, ce sont ces trainées obliques, tantôt sombres, tantôt lumineuses, qui se rejoignent sur l’avant-plan du cliché.
Ces stries font bien sûr penser à des ombres, ou à des stratifications géologiques, ou encore des traces laissées par le rover.
Mais comment le rover aurait-il pu laisser des traces de chenilles sur les rochers ? Comment les sillons des strates géologiques pourraient ils se rejoindre ?
Les strates des roches sont toujours parallèles entre elles.
La seule autre explication est que quelque chose se trouve au dessus du sol.
Ces lignes font donc penser à des racines, des lianes ou des plantes à rhizomes. Ces plantes ont l’air d’émettre des rejets un peu partout, mais ce n’est qu’une hypothèse.
Afin d’en savoir plus, il convient d’agrandir ce cliché et de l’éclaircir.
On voit bien que les lignes sont reliées entre elles, mais que les tracés au niveau du sable ont sûrement été gommés par un flou.
Ces formations pourraient donc bien être des racines, ou encore, du mycéllium, de couleur blanche.
Et surtout, sur la partie gauche du cliché, on voit que quelque chose émerge du sol, comme des jeunes pousses !
Il y a encore mieux.
En effet, ces formes qui émergent sont parallèles entre elles, exactement comme le sont des plantes qui se développent en s’orientant suivant le Soleil et le vent.
Pour avoir un aperçu plus net, voici d’autres clichés de ces formations qui font vraiment penser à des zones balayées par le vent ou à des racines.
En apparence, ces vues splendides d’une petite colline martienne sont tout ce qu’il y a de plus banal.
Jusqu’à il y a peu, je pensais tout naturellement à l’effet du vent sur le sable, voire de l’eau avec la fonte saisonnière du pergélisol.
Mais il convient de les grossir et de regarder attentivement les sinuosités.
Comme on peut s’en rendre compte, les stries d’écoulement du sable, ne sont pas liées à la gravité.
De plus, en agrandissant une autre zone, on voit bien ici qu’il existe quelque chose qui saille au bas de la roche, qui fait penser à un cône d’érosion, mais qui n’en est pas.
En effet, sur un tel cône, il n’existe pas de zones discontinues au niveau des stries, l’eau, et le vent étant censés déplacer le sable du haut vers le bas.
On constate donc de véritables « blancs » sur ce cliché.
Après un éclaircissement et une réduction du bruit, on voit très clairement les zones qui ont été maquillées et floutées.
Un négatif du cliché est encore plus flagrant, il révèle les sommités de plantes ou d’autres organismes, qui ont été certainement effacées et qui émergent de cette colline.
Les auteurs de ces floutages ont voulu que nous songions à un tassement ou à un creusement du sable, sous l’effet de la pression.
Au premier abord, on est bien convaincu, mais le négatif de l’image révèle bien les stries résiduelles du sable et un grand nombre de pixels anormaux, signe évident d’une manipulation de ce cliché.
Cela fait donc un grand nombre d’anomalies potentielles, dont la large bande oblique est quasiment certaine. Le sable n’est jamais censé s’écouler de cette manière sous l’effet du ruissellement !
Le cliché présente en outre des zones transversales très étonnantes, qui font vraiment penser à un réseau de racines.
Ce réseau enjambe les stries du sable, lequel comporte des décrochages.
Les zones alluviales de la Terre présentent un tracé en forme de motif racinaire plus ou moins sinueux. Alors que les zones alluviales de Mars, ont des diverticules tout à fait incompréhensibles, ou le courant de sable …. remonte et tient comme par magie !
Cela est il possible ?
En l’absence d’autre hypothèse, et à part l’hypothèse fantastique d’une variation de la gravité sur Mars, il convient plus vraisemblablement d’imaginer que ces stries ne sont pas les effets du vent ou des précipitations, mais des formes de vie, comme un réseau souterrain de racines très dense.
Ce réseau permet au sable de prendre cette forme et de la conserver.
Une telle formation modifie les sillons d’écoulement au niveau du sable, en produisant bien sûr des variations aléatoires fort harmonieuses. Elles font penser à celles des palétuviers, immenses et très ramifiés ou au fameux arbre sang-dragon que l’on ne trouve qu’à Socotra, dans l'Océan Indien.
Que dire devant pareils clichés qui nous transportent instantanément en plein rêve ? Ils sont tirés de ce site, à voir absolument, si vous voulez vivre un instant d'évasion béni :
http://socotra.over-blog.com/album-1786657.html
Il convient de se demander si une forme de vie strictement racinaire peut raisonnablement exister.
Sur Terre, avec nos préjugés concernant l’apparence des formes de vie, il serait très tentant de dire non.
Pourtant, beaucoup de plantes ont une vie persistante dans le sol.
Les plantes à rosette, comme les pissenlits, les bulbes, les rhizomes, comme l’ortie, sont autant de moyens qu’a trouvé la vie végétale pour persister. Ceci, une fois que la partie aérienne de la plante a été coupée, et aussi durant l’hiver.
Dès lors, l’hypothèse d’une vie racinaire sur Mars prend tout son sens, car cette planète est bien plus froide que la nôtre.
De même, cette vie échappe ainsi au dangereux rayonnement diurne du soleil, qui génère des ultraviolets non suffisamment filtrés par les nuages d’après les chercheurs.
Il est envisageable de songer également à des plantes qui s’épanouissent la nuit, pour recueillir la rosée, peu avant l’aube et se rétractent durant le jour, pour se protéger du rayonnement ultraviolet.
Voici des formations de dunes, ci-dessus, sur lesquelles la vie semble s’être accrochée.
Les chercheurs sont partagés, certains évoquent des geysers d’azote, d’autres, des algues ou des plantes.
http://photojournal.jpl.nasa.gov/catalog/PIA08440
En couleurs, cela donne des détails assez incroyables. Ce beau rocher semble ainsi couvert de lichens et de mousse, comme prédit par Gilbert Levin. Merveilleux !
Et voici l’une de ces plantes, constituée, d’un alignement de « rochers », lesquels sont sans doute entrecoupés d’une tige effacée.
Après reconstitution, voici ce que cela pourrait donner. Dans la nature, un si grand nombre de pierres, à savoir neuf, ne peuvent être alignées. Il s’agit donc certainement de quelque chose qui émerge du sol.
Ce n’est qu’une simple interprétation de ce cliché, une personne disposant d’un logiciel de traitement d’images adapté pourra certainement faire mieux. Je suppose l’emplacement des tiges, mais je ne puis en être absolument certaine, car tout ceci est très flou.
Evidemment, le chapeau de ce « champignon » extrémophile martien ressemble à un rocher ordinaire au premier abord.
L’auteur de ce maquillage, a sûrement rajouté une bande brun sombre au dessous, afin de simuler une ombre. Ce faisant, il a oublié de teinter une zone claire, qui subsiste en bas de l’ombre, rendant ce « rocher » martien plutôt suspect. Le « rocher », a ainsi l’air de flotter au dessus du sol, parce que l’œil humain sent qu’il manque quelque chose.
Pour bien réaliser ceci, il faut fixer l’image à bonne distance de son écran. Les tiges effacées transparaissent plus facilement.
Ces formations de type extrémophiles, sont aussi fascinantes que les plantes des déserts sur Terre. Elles devraient recevoir toute notre admiration au lieu d’être effacées des clichés, pour éviter que des chercheurs trop curieux ne les étudient.
Beaucoup de cactus sur Terre, sont couverts d’épines, justement pour piéger la rosée, de plus, les variétés les plus résistantes sont enduites d’une cire très réfléchissante, qui empêche la déshydratation et protège la plante des ultraviolets.
Certaines cires protègent même les plantes contre la pollution aérienne, les insectes et les bactéries, et même la radioactivité, pour ce qui est du ginkgo biloba.
Il existe d’autres stratégies adoptées par les plantes pour se développer, notamment une manière de se reproduire et de s’implanter à grande distance. C’est l’émission de très fines particules comme les spores, ou le pollen que le vent peut emporter à très grande distance.
La planète Mars est justement parcourue d’abondants tourbillons de poussières. Il est raisonnable de penser que si des algues, des lichens, ou des plantes extrémophiles s’y sont implantées, elles adoptent cette stratégie de dispersion des semences par le vent.
Et précisément, sur Mars, on peut voire ces trainées sombres sur le sol. Près du mont Olympus, elles forment de véritables sillons, qui pourraient contenir des perles de vie, voire des spores de couleur sombre.
Ces sillons se retrouvent également en d’autres régions, comme sur cette image magnifique.
Il existe aussi de telles formations sur Terre, notamment en Antarctique, près du glacier Taylor, où de l’oxyde de fer, ou des bactéries dessinent des trainées orange vif comme sur cette photo impressionnante.
http://www.gentside.com/glace/les-surprenantes-cascades-de-sang-en-antarctique_art10623.html
Il est étonnant au passage de songer que la lune de Jupiter Europe, présente aussi des sillons orangés à sa surface, simple parenthèse.
Les conditions extrêmes de survie en Antarctique sont bien similaires à celles des glaces du Mont Olympe et à d’autres régions très froides et venteuses.
On peut voir sur cette image de Mars, un peuplement végétal bien constitué, justement dans les zones où la présence d’eau souterraine pourrait affleurer à la surface de manière saisonnière.
Ces clichés fabuleux sont tous issus du site de J.P. Skipper, qui a étudié avec beaucoup de soin la surface de Mars. Son travail est visible ici :
http://www.marsanomalyresearch.com/
ou ici en cas de difficultés :
http://web.archive.org/web/20160402103336/http://www.marsanomalyresearch.com/
On voit bien que les petits "buissons" se concentrent justement dans les creux, et que les plus gros sont positionnés dans les trous les plus profonds. Ces zones sont précisément celles où l’eau et les nutriments sont logiquement les plus présents.
Mars Biological Evidence Directory
The links below access the biological life evidence record ordered with the newest postings at the top and the oldest at the bottom. The imaging in the limited poor resolutions made available to us
http://www.msss.com/moc_gallery/r03_r09/images/R09/R0901019.html
Ces buissons de couleur sombre, n’ont rien à voir avec les geysers d’azote, que l’on voit très bien ci-dessous :
La forme radiante de ces végétaux, est très caractéristique.
Ici, il s’agit d’une plante qui ferait environ 500 mètres de diamètre. La dimension a été fournie par J.P.Skipper sur son excellent site.
Lors des fontes du pergélisol, par exemple, il est raisonnable de songer que certaines espèces parviennent à croitre et à s’épanouir. Et justement, on voit bien sur ce cliché qu’aucune plante n’est visible au delà de la zone de fonte.
Ensuite, ces plantes perdent ou non leurs parties aériennes, lorsque intervient le terrible hiver martien.
Voici un gros plan de ces « arbres », qui font plus penser à des filaments de moisissures géantes s’étendant d’une dune à l’autre :
Et ces débris, bien évidemment, sont visible juste ici, par ces étranges étendues sombres entourant des zones brun clair, peut-être les spores de ces organismes si vaillants.
http://www.jpl.nasa.gov/spaceimages/details.php?id=PIA12112
Comme quoi notre sœur ocre est de plus en plus proche et n’a pas fini de nous surprendre !
Il convient d’émettre un vœu, pour que notre espèce devienne plus sage et respectueuse des mondes, lorsqu’elle pourra explorer la surface de notre voisine. Si cela se produit, il est envisageable de songer l’homme de la Terre se voie confier une mission, afin de multiplier les merveilleuses plantes de Mars pour la faire reverdir.
Aller jardiner sur Mars, quel bonheur nous guette !
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu'il ne soit pas coupé
- qu'il n'y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à notre blog http://www.unepetitelumierepourchacun.com
Sources :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Climat_de_Mars
http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/eau-Mars-2004.xml
http://orbitmars.futura-sciences.com/galerie_images/galleries/mars_globe/pwg_high/carte_mola.jpg
http://www.artivision.fr/PreuvesFlagrantes.html
http://mars.jpl.nasa.gov/msl/multimedia/raw/
http://www.alpo-astronomy.org/
http://rense.com/general9/color.htm (en anglais)
http://www.marsanomalyresearch.com/ (ici également, mais très complet)
ou ici, car ce site ne semble plus exister :
http://web.archive.org/web/20160402103336/http://www.marsanomalyresearch.com/