Rêve d’un intérieur vénusien

Publié le par Aurélia LEDOUX

Rêve d’un intérieur vénusien

Une demeure baignée d'une énergie de guérison

Voici un rêve merveilleux parlant d’une demeure très accueillante à la surface de Vénus, laquelle semble située sur son haut plan. J’ai tenté de le restituer le plus fidèlement possible.

Cette nuit, j’ai fait un nouveau rêve sur Vénus et ce qui ressemblait à des fenêtres inter- dimensionnelles entre les planètes.

Ce rêve était très net par moments et n’en ressemblait pas à un ordinaire. Il s’agissait plutôt d’une sorte d’exploration.

"Je me trouve sur Vénus et je vois l’intérieur d’une demeure très haute de plafond, absolument admirable. Elle ressemble à un mélange entre un château baroque et une sorte de temple garni de fleurs avec des fauteuils. Je n’ai jamais vu un tel salon, tout y est fort accueillant, fort lumineux. La lumière semble jaillir des murs et du plafond eux-mêmes, et elle sature l’air d’une énergie palpable, une énergie de guérison. Elle imite parfaitement la lumière du jour sans éblouir.

Cet endroit appartient à un homme aimable habitant sur Vénus. Il est ravi de m’y accueillir, avec d’autres personnes de la Terre, et de faire visiter sa maison. Je ne me rappelle pas son allure, simplement qu’il est extrêmement raffiné et bienveillant. Il souhaite, manifestement, que les Terriens voient comment ils vivent sur ce monde si agréable.

Bien sûr, je prends tout mon temps pour détailler cet endroit incroyable, qui comporte comme une cheminée en marbre, mais quelque chose de plus décoratif. On voit une colonne artistiquement rainurée, en marbre blanc pur, zébré de fines lignes grises, avec peut-être de la végétation autour, et des statues.

On se sent extrêmement bien en cet endroit, à la fois parfaitement en sécurité, et complètement hors du temps, hors de toute préoccupation. C’est comme une cure d’oubli tout à fait bienvenue, car aucun souvenir de la Terre ne peut entrer ici, que des choses agréables.

Il y a une fenêtre munie, quel dommage, de rideaux opaques, on ne voit pas l’extérieur avec les paysages de Vénus. Les rideaux, je le crois, sont bordeaux.

La fenêtre est très vaste. L’homme fait un large geste de la main et la fenêtre s’ouvre d’un seul coup.

Je veux vraiment voir le paysage de Vénus, mais tout est blanc, bien trop lumineux pour mon regard, incapable de détailler le paysage. Mes yeux ne sont pas faits pour voir un monde aussi lumineux.

J’ai regardé cette fenêtre lumineuse sans en croire mes yeux. Je ne vois qu’une image uniformément blanche. Puis d’un seul coup, je m’approche, comme si mon corps ne pesait pas et flottait au-dessus du sol.

Je n’ai aucun souvenir de température marquant, juste un souffle frais lorsque la fenêtre s’ouvre, lequel devient tiède.

Et l’image blanche devient peu à peu moins lumineuse. Elle s’élargit, comme l’image d’un écran 16/9ème. Elle fait au moins cinq mètres de large, cette vaste fenêtre.

L’image que j’ai alors sous les yeux, est celle d’un vaste panorama absolument somptueux.

Le ciel vieil or, orangé par endroits, est à couper le souffle, mêlé de teintes safran et plus sombres, presque noires. Les nuages forment de vastes ondulations plus claires.

Les nuages bougent doucement, de manière très différente par rapport à notre monde. Il existe des mouvements ascendants dans l’atmosphère, comme des tourbillons.

Tout cela surplombe une vaste étendue de vallées comme le Grand Canyon, mais avec beaucoup plus de tours de grès isolées. Ces reliefs très étranges semblent un peu faire partie des nuages. Ils ont l’air pour ainsi dire vaporeux, ne pesant pas sur l’horizon, comme s'ils étaient éthérés. On a l’impression que la limite entre le sommet des reliefs et les nuages disparait par endroits.

Tout cela est très étrange, je n’ai pas d’explication. Il me semble capter un courant d’air tiède, mais les perceptions de température sont ténues.

Ces reliefs s’écartent au centre pour révéler une vallée très large. La couleur est dorée, presque orange et fort belle. Le paysage ressemble à un endroit de chez nous, baigné de teintes crépusculaires.

Je l’ai longuement regardé et je crois que je pourrai le dessiner s’il remonte à ma mémoire.

La scène change.

Ensuite, je me retrouve avec ma tante sur un petit sentier caillouteux, et il est question d’une fenêtre menant jusqu’à Mars, où nous avons atterri. La fenêtre en question constitue juste un passage permettant de se rendre d’un point à un autre en quelques secondes.

Là tout est gris comme un jour de pluie, mais c’est un peu exceptionnel, car le ciel de Mars n’apparait pas comme cela d’habitude. Il est ordinairement beaucoup plus clair, soit laiteux, bleuté ou rosé.

Le sol ressemble à un ocre méditerranéen qui devient boueux lorsqu’il pleut, donc composé d’argiles, et qui s’érode facilement, avec de la végétation sèche.

Lorsque tout cela revient, je me dis que c’est assez exceptionnel et ma joie est très vive ."

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Publié dans Messages oniriques

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