Visions de la surface de Vénus
Un monde à découvrir, aux facettes multiples
Il semble que Vénus, tout comme la Terre, soit constituée de multiples plans disposés en feuillets. Certains nous sont accessibles, d’autres de toute évidence ne le sont pas encore. Cela impliquerait que l’homme se montre peut-être plus humble dans sa quête de connaissances, moins cartésien, pour franchir de telles limites.
Afin d’accéder à davantage de découvertes en ce domaine, il a plutôt intérêt à se fier à sa propre intuition et à ses facultés intérieures, trésor qui dort en chaque être humain. De tels plans ne sont visiblement point accessibles aux instruments de notre monde matériel. Seul l’esprit, le rêve, permettent de contempler certains endroits aux vibrations très élevées.
Donc, les êtres humains devraient sûrement apprendre à se fier à leurs capacités naturelles, à se faire plus confiance, plutôt que de s’en remettre uniquement à la technologie et aux scientifiques en ce domaine. La technologie et la science, aussi brillantes soient-elles, ne peuvent permettre que de voir une certaine facette du monde extérieur.
L’être humain, lui, est multidimensionnel. Son âme, son esprit, peut se relier à volonté à différents niveaux de perception, et les relater ensuite. Avec la montée du niveau énergétique de la Terre, de telles perceptions s’affinent de plus en plus. Il en est de même pour vous évidemment, qui êtes en train de lire ces lignes.
Si vous vous intéressez à l’espace, de telles perceptions fleurissent naturellement en vous. Ce texte autrement ne serait pas venu à vous par “hasard”. N’est ce pas ?
Jusqu’à il y a peu, je n’ai jamais réussi à voir le sol de Vénus, je n’ai jamais cherché à le faire non plus. Il est préférable de laisser les images venir, plutôt que de forcer.
La seule chose qui me vient à l’esprit lorsque je contemple les clichés de cette planète, ce sont les gorges du Verdon ! Cela me fait penser à une vallée humide avec des galets, et de la fraicheur.
La première vision que j’ai eue de Vénus, montrait un ciel laiteux et blanc, avec son sol ocre, elle a duré le temps d’un éclair.
Cette image fugace m’a déjà rendue très heureuse.
La vision qui a suivi était bien plus détaillée, et bien plus satisfaisante. Tout ceci, bien sûr, est fort subjectif, méritant d’être complété pour se faire une idée. De nombreux auteurs publient des articles novateurs sur les dimensions subtiles des planètes et la vie, manifestement bien plus éthérée et spirituelle que la nôtre, qui occuperait ces plans.
J’ai encore d’autres visions, elles sont assez fortes et concernent Vénus. Le ciel est blanc lumineux, un peu sable par endroits, ou gris clair doré en fonction des points cardinaux.
C’est une très belle vision, le sol est couleur safran. Il fait chaud, entre 50 et 90 ° C suivant la latitude, mais pas autant que le disent les détracteurs. Je me sens particulièrement bien.
Le sol est zébré de fissures agréables et entre celles-ci, jaillit une eau chaude sous pression, qui forme de petites flaques. Il fait environ 60 degrés. Ces flaques sont emplies d’une vie minérale simple et de microorganismes tels que ceux des geysers, qui supportent de très hautes températures.
Je suis très émue de voir cette vie. Je peux me déplacer sur le sol de la planète et je perçois au loin des installations délabrées qui ont du abriter des êtres technologiquement supérieurs à nous, mais inférieurs au stade vibratoire des Vénusiens. Incommodés par les très hautes vibrations de la planète, les êtres s’en sont allés, laissant sur place ces sortes de bunkers de couleur noire et blanche, conçus pour résister aux tempêtes vénusiennes et à la chaleur.
Il existe une intense vibration dans l’air, chargé de poussière, une tempête approche. La planète vibre très haut, trop haut pour moi aussi qui ne peut rester longtemps pour m’y promener.
J’aimerai bien notamment me pencher sur le sol. Celui-ci ressemble à une roche sédimentaire qui a subi une érosion hydraulique due au passage d’un ruissellement acide. On voit ce type de formation près des zones abritant des nappes de soufre, comme Dallol, en Ethiopie si je me souviens bien. Ici, les roches forment des coussins et des éventails, un peu comme des roses des sables. On voit bien les couches géologiques, signe de dépôts sédimentaires.
Voici pour compléter cette description, quelques propos de Dorian sur les planètes. Les questions sont de mon ami, Fred Idylle, que je salue et que je remercie bien au passage.
Tout ceci, n’était pas au départ destiné à être publié, mais ce texte bref pourtant antérieur, m’a semblé souligner à cette vision.
- La Terre est-elle creuse ?
- Oui et bien oui, mais pas de la même manière sur tous les plans.
- Les plans ?
- La Terre est comme un millefeuille de forme sphérique, à l’image de votre corps. Des courants subtils la traversent et l’inter pénètrent pour la relier à son étoile. Chaque strate du millefeuille correspond à une dimension. De même les différents corps subtils des êtres vivants sont chacun reliés à ces dimensions, invisibles en permanence pour le commun des mortels. Donc ce qui affecte les humains affecte la Terre, inévitablement.
- Et Vénus ?
- Vénus est plus ancienne Elle a été catapultée sur un autre chemin, un chemin que vous suivrez bientôt. Sa structure est analogue à celle de la Terre et elle accueille beaucoup de créatures variées qui s’y sentent à leur aise. Ces créatures sont abritées dans des dimensions subtiles, aussi les instruments ne les détectent pas. Les instruments appartiennent au monde matériel. Pour les mondes spirituels, ils n’ont pas de réalité, donc la réalité des sphères subtiles ne leur apparaît pas.
- Pourquoi ne savions nous pas tout cela ? Pourquoi ne pas l’avoir découvert avant ?
- Chaque vérité doit s’épanouir en une période donnée. Lorsqu’il est parfaitement à propos qu’elle se révèle. Elle ne le fait que lorsqu’elle peut servir au mieux l’évolution spirituelle de l’être humain. Ainsi, le cœur de la Terre se révèle à ceux qui commencent à douter des idéologies spirituelles communément admises sur la structure et l’origine de notre monde. La Terre n’a pas été créée au départ, de l’extérieur par accrétion, comme vous le croyez, mais de l’intérieur. Elle a absorbé de plus en plus de fluides énergétiques du soleil et les a matérialisés peu à peu en strates successives. Ensuite le phénomène d’accrétion est intervenu sur la surface encore pâteuse. Puis la Terre a refroidi et la différenciation s’est opérée entre la croûte plus solide et son cœur à l’état de plasma, relié au soleil par des courants subtils, et au grand soleil qui orbite au centre de la galaxie.
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu'il ne soit pas coupé
- qu'il n'y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à notre blog http://une-petite-lumiere-pour-chacun.over-blog.com
L’image représente le volcan acide de Dallol en Éthiopie, elle est tirée du site suivant qui présente ce monde de soufre spectaculaire par un très beau reportage photographique :