LA MORT N'EST PAS TRISTE,

Publié le par Aurélia LEDOUX

C'est une libération,

Voici que j'entends la douce voix de ma tante, il me semble voir un être quasi-angélique. Elle est comme magnifiée, une mélange entre une fée lumineuse et elle-même, avec cette bonté, cette vraie générosité dont elle a fait preuve au quotidien.

“La mort n’est pas triste, c’est une libération. Laisser aller le poids de la vie pour n’en garder que le meilleur, que ce qui fut bon pour nous faire avancer.” me dit ma tante, en ce moment même.

Quel bonheur de l'entendre de nouveau, de pouvoir bénéficier de sa sagesse.

« Je suis là, toujours là, malgré la mort, malgré tout.

Cela est, cela est bien ainsi.

Il te faut songer, véritablement, que la mort n’est pas la fin, qu’elle n’est pas triste, comme je te l’ai dit précédemment.

Nous sommes toujours à l’écoute, de vous et du monde, certains d’entre nous, ceux qui choisissent de se brancher, pas tous.

Votre conception de la mort va à l’encontre de la vérité, la mort, ce n’est pas un puits de nuit et d’oubli sans fin, c’est renaître à soi-même.

Il faut effacer tout cela de vos esprits, l’idée de la décrépitude, de la décomposition du corps. Cela va à l’encontre de la conservation de nos esprits, et ce n'est pas très agréable, n'est ce

pas ?

Sitôt que le corps meurt, sa part immortelle, l’âme, entourée du corps astral s’élève et ne souffre plus. Elle se détache du corps, et en absorbe les dernières parcelles d’énergie. Cette énergie est primordiale, car elle lui permet de monter, d’aller séjourner dans l’astral supérieur, là où l’attendent les autres membres de sa famille.

C’est ainsi que les choses se passent la plupart du temps. Sauf si l’âme reste coincée et s’attarde dans le monde matériel. En ce cas, elle a besoin d’aide. Les chants et les prières, la joie d’une manière générale, lui permettent aisément de franchir ses barrières, qu’elle s’est forgée à elle-même.

Donc, les défunts sont intacts, leur apparence est préservée, c’est l’image mentale qu’ils se faisaient d’eux peu avant leur mort, une sorte de sauvegarde si vous préférez. Leur mémoire, leurs souvenirs sont aussi préservés, ils peuvent ou non vous voir et vous entendre, simplement en pensée, si ils le souhaitent, et si vous le souhaitez.

Cela doit fonctionner dans les deux sens, un peu comme une sorte d’autorisation, pour communiquer à distance. Là encore, la barrière se tient dans vos esprits, il n’existe en réalité aucune séparation.

Seulement, depuis tout petit on vous a appris à faire taire votre imaginaire. Voilà pourquoi les plus jeunes enfants sont aussi sensibles au monde de l’astral, des élémentaux et des défunts.

Ce sont les adultes qui leur ajoutent ce côté macabre et funèbre, un côté « coincé », dur, sérieux, que je désapprouve vraiment.

Je ne dis pas qu’il faut rire aux enterrements, mais une cérémonie une peu plus joyeuse serait souhaitable. Cela nous aiderait, et cela vous aiderait. Nous sommes juste partis, et nous nous retrouverons tous à la fin. Soyez en sûrs. La mort du corps physique n’est pas celle de l’âme.

L’âme continue son chemin, elle découvre mille endroits passionnants. On lui propose d’être guérie de ses souffrances, puis de partir à la découverte d’autres horizons, elle apprend, elle aide aussi ensuite d’autres âmes à passer. Tout cela est très doux, très joyeux.

Nous rions beaucoup ici, et il fait toujours beau ! Alors pourquoi pleurer si nous renaissons ?
Vous devriez vous réjouir de ce passage, de notre guérison psychique totale !
RÉJOUISSEZ-VOUS !
Car nous renaissons à nous-mêmes.

Renaître à soi-même veut dire conserver sa personnalité, ses envies, son caractère, un peu, dans ce qu’il a de bon.

Cela veut dire aussi apprendre en bien, apprendre beaucoup de choses de la vie de l’autre côté. Apprendre à être heureux si l’on ne l’a pas assez été, dans sa vie d’autrefois.

Ici il y a plein d’âmes attentives pour nous aider. Songez y .

Songez à cette possibilité merveilleuse que la mort redonne à nos pauvres âmes qui ont tant souffert de la vie !

Bien sûr, le message n’est pas de nous rejoindre, car cela est une transgression, ce serait bien mal, et vous ne pourriez que le regretter après coup. Votre expérience de la vie a un but à chaque fois, et il faut la mener absolument jusqu’à son terme .

Mais il est surtout de vous apaiser, de sécher vos larmes et de songer à tous les disparus avec le sourire.

Vous pouvez songer très précisément qu’ils ont simplement pris un bateau pour l’autre rive !

La mort est comme un voyage même si elle ne saurait se résumer à cela.

La mort revient à changer, à perfectionner son être, au point de devenir ce qu’on pourrait appeler un ange humain.

Oui, les anges existent, j’en ai fait l’expérience. Ils sont très nombreux, et aussi bienveillants que les textes l’affirment, pas seulement les textes religieux.

Depuis l’autre côté, les religions semblent souvent tournées les unes vers les autres.
Cela est bien triste, il faut que les vivants de religions diverses apprennent à s’aimer, à aimer ceux qui sont différents.
C’est ainsi que l’humanité progresse, en aimant la différence.
La religion est une affaire de cœur.

La foi siège au cœur des êtres, donc croire, aimer Dieu, ou Allah, ou Bouddha, peu importe le nom qu’on lui donne, c’est aimer la vie, toute vie, les hommes, bien sûr, mais aussi, les animaux, les baleines, les dauphins, les papillons, les autres petites bêtes et les plantes.

Car Dieu est au cœur de chaque être, dans chaque être il y a une part divine, absolument parfaite, et qui aspire à perfectionner les autres, à s’étendre comme des cercles dans l’eau.

Cette lumière rayonne dans tous les êtres, dans tout être, elle rayonne de plus en plus au fur et à mesure de son éclosion spirituelle.

Lorsque cela a lieu, il peut lui arriver toutes sortes de choses incroyables, percevoir le monde d’une manière bien inattendue, bien différente, et aussi rencontrer des tentations, puis l’incompréhension de son entourage.

Il ne faut pas se soucier de tout cela. L’important, c’est ce qui se passe au cœur d’un être, le miracle.

Que fait une graine minuscule en train de germer au milieu de chênes centenaires ?

Elle s’élève et grandit, jour à près jour, elle continue à croitre.

Croissez de même, ne vous souciez pas de ceux qui rient ou vous montrent du doigt. Passez votre chemin.

Concentrez vous sur ce qui est en vous, ce qui s’opère à l’intérieur de vos êtres, le MIRACLE.

Ce miracle, c’est une renaissance à la lumière, une vraie renaissance, et elle s’opère maintenant ! Vous n’avez pas besoin d’être morts pour cela. Désormais, les plus grands enseignements vous seront accessibles, c’est une nouveauté. Soyez ouverts et aimants, reconnaissants. Alors, le monde à son tour, après vous renaîtra. Il renaîtra à partir de vos êtres illuminés.

Nous sommes tous avec vous. Je suis Catherine et je vous aime, j’aime tous ceux qui liront ce texte, et les autres également.

Que votre vie soit heureuse et allégée, sur votre chemin semé d’épreuves.

Vous allez triompher, si vous doutez, demandez à vos anges, vos guides de vous soutenir. Ils seront ravis de vous aider. Ils sont là pour cela, chacun de vous êtes aidés en ce moment

même. »

Catherine,

Sois remerciée Catherine, pour parler ainsi que tu le fais et continuer à dispenser ta bonté.

Aurélia,

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

Publié dans Messages

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I
merci Aurélia, de partager avec nous ces messages forts, et merci Catherine!
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A
De rien. C'est un plaisir et cela me permet d'avancer à moi également. Les messages viennent d'eux-mêmes de défunts qui ont envie de s'exprimer. En ce qui concerne ma tante, c'est la seule manière que j'ai de lui rendre hommage. Je suis donc comblée de songer que même dans l'après-vie, elle continue à faire du bien autour d'elle. Un grand merci Isabelle !