La rieuse possibilité du voyage spatial

Publié le par Aurélia LEDOUX

La rieuse possibilité du voyage spatial
Message du professeur Zolmirel

 

Dans ce message très dense, le professeur s'exprime de nouveau. La première partie assez technique, sur l'élaboration de vaisseaux à antigravité, est transcrite du mieux que j'ai pu. Le professeur souligne la nécessité d'avoir recours à des véhicules entourés d'un "champ", pour se déplacer en toute sécurité dans l'espace.

 

« C’est moi, de nouveau, le professeur Zolmirel,

Oui, j’étais près de Dorian tout à l’heure. En fait nous dictons ces messages ensemble régulièrement.

Tu es consternée et je le suis aussi par ce qui se prépare. Cette révélation de la vie extranéenne, dont la NASA, un organisme en réalité paramilitaire et de contrôle multiétatique, veut avoir le premier et le dernier mot. Ceci est fait afin de pour commander à la planète sur fonds de loi martiale.

Les êtres qui dirigent les agences spatiales ont spolié une technologie imparfaite et reproduit des vaisseaux métalliques, sans âme, en croyant conquérir les cieux.

Faisant cela, ils se sont éloignés de la rieuse possibilité de s’ouvrir à leur cœur.

 

Oui, cette possibilité existe bel et bien, et nous sommes ravis de voir que vous êtes très différents, que vous aspirez à découvrir le monde qui vous entoure.

Tous les humains de la Terre voudront voyager dans l’espace, tout cela cependant requiert d’employer des nefs et non pas des fusées dangereuses et brinquebalantes.

Oui, la maîtrise du voyage spatial passe par la maîtrise de l’antigravité.

Une fusée ne possède aucun dispositif de répulsion des radiations. Une fusée est traversée de toutes parts par un dangereux courant, celui des fameuses ceintures de Van Allen.

Sinon pour ne pas le subir, il faut passer par les lacunes polaires, très précisément aux pôles Nord et Sud de votre planète, là où se trouvent les trous dans la couche d’ozone, qui n’en sont pas vraiment, puisqu’ils correspondent à l’absorption au Nord, et l’éjection des particules hautement ionisées de la Terre, par le pôle Sud. Ces flux sont constitués de particules coronales issues du vent solaire, un fluide nourricier.

Votre planète absorbe son énergie du Soleil par le Pôle Nord et la rejette par le pôle Sud. Ce flux expiratoire de votre Terre est parfait pour propulser un vaisseau, très précisément en Antarctique.

Donc, il se trouve que pour voyager dans l’espace nous suivons la même direction. Les vaisseaux soucieux d’atterrir sur votre Terre empruntent les lacunes polaires Nord. Et ceux soucieux de s’en échapper, passent par le pôle Sud.

 

Autrement ?

Autrement, eh bien il faut employer une nef. Mais très officiellement, l’armée et les agences spatiales n’admettront jamais posséder de telles technologies, n’est ce pas ?

Même si elles sont parvenues à reconstituer des nefs métalliques et à reproduire cette technologie de répulsion, qui entoure le navire en vol d’un champ toroïdal.

Pour repousser efficacement ce courant, il faut une nef entourée d’un vortex magnétique puissant, de forme toroïdale, qui imite parfaitement la respiration de votre planète. Cela signifie que le vaisseau doit disposer d’une puissance énergétique considérable, soit par un réacteur à hydrogène, soit par une puissance tachyonique. (Mégawatts ou Térawatts ?) Ce passage délicat est transcrit approximativement.

Le champ toroïdal est à l’image de la Terre, un vaisseau possédant ce champ va naturellement repousser toute particule cherchant à y entrer, qu’il s’agisse d’une particule radioactive, de bactéries, de pollens, et aussi d’engins dangereux, comme des missiles, par exemple.

Nos nefs possèdent bien évidemment toutes ces technologies, en plus d’un dispositif de couverture, qui leur permet de passer tous les barrages, qu’il s’agisse de barrages radar, ou de véhicules poussifs d’interception, que vous nommez des Migs ou des avions à réaction.

 

Un Mig correspondrait chez nous, à l’allure d’un bâtiment possédant une avarie quelconque. Sans parler bien sûr des avions de lignes, bruyants et peu maniables. Ces bâtiments sont bien évidemment dangereux, puisque ils ne peuvent freiner et encore moins se sustenter en plein vol. La chute d’un avion endommage sa coque fragile et les passagers sont très exposés.

Cela est inacceptable pour nous. Nous sommes très affectés lorsque nous le voyons !

La coque de nos nefs est pour cette raison pratiquement indestructible, elle se reconstitue en cas d’impact, afin de protéger les pilotes.

Donc, nos vaisseaux sont invisibles, indétectables, nous nous y trouvons parfaitement en sécurité, grâce à une technologie de lumière, une technologie qui rend nos navires pour ainsi dire vivants. La communion avec le pilote est très belle, comme il est heureux de voler de la sorte !

Oui, les vaisseaux-lumière le peuvent, à travers les eaux, les montagnes, il n’est point d’obstacle, nous pouvons nous rendre facilement dans les tunnels d’accès cachés de votre monde pour rejoindre les cités de lumière.

 

Un Mig ne pourrait jamais y entrer, encore moins une escouade de soldats surentrainés. Oui, car ils seraient aussitôt dissouts par la haute radiance.

Ce serait bien dommage et nous ne voudrions jamais cela bien sûr ! Nous sommes soucieux de la vie, de votre vie.

Seulement, il faut que vous sachiez que des bâtiments de transport s’approchent régulièrement des passages subtils qui entourent votre Terre sans le savoir. Ces passages existent bel et bien, et mènent vers des raccourcis spatio-temporels dont vos gouvernants vous ont soigneusement caché l’existence.

Lorsqu’un bâtiment terrien, avec des civils à bord de transports entiers, s’approche de ces positions, nous intervenons toujours, car il y a un danger.

Oui, nous intervenons pour mettre le cargo ou l’avion en lieu sûr. Vos avions ne possèdent aucune défense face au vide spatial, et il faut donc faire vite.

Voilà pourquoi autant de transports disparaissent sans laisser de traces de votre plan, c’est pour leur sécurité. Nous les aspirons dans des vaisseaux-mères quasi-instantanément.

Nous arrivons souvent à endormir les passagers et ils ne se rappellent aucunement avoir traversé une zone de turbulences, mais quelquefois il n’en est rien. Le mystère qui entoure ce mot, « Cotopaxi », est entier, pour vos spécialistes, puisque ce bâtiment a été retrouvé sans ses passagers. Cela devrait vous aider à apprécier plus sereinement notre existence, notre rôle de gardiens, car nous sommes au courant de tout ce qui se passe sur votre monde. Lorsque quelqu’un est en péril, nous intervenons toujours.

Néanmoins, il faut que vous compreniez bien que la vie est compartimentée en des strates nombreuses, des plans. Ces strates sont successives, le pouvoir de non-ingérence, de respect de la vie, à tous les niveaux, est le pouvoir le plus grand de l’être humain. C’est le pouvoir de donner sans recevoir. Seul ce potentiel permet de passer dans la sphère d’être supérieure.

Que veulent offrir les explorateurs avides, qui ont tenté de descendre dans les galeries du monde intérieur ?

Que voulaient-ils, sinon se servir en gisements et en pierreries, puis obtenir par là même, le pouvoir de régenter d’autres mondes, emplis de gisements par la maîtrise de ces positions, de ces vortex ?

Nous vous disons que cela n’a plus à être. Les personnes avides et malintentionnées, ne peuvent trouver nul bonheur en cette vie, ni en celle d’après. Ils s’enferment eux-mêmes dans un cercle sans fin d’insatisfaction asservissante, à poursuivre des chimères, à vouloir toujours plus. Jusqu’à ce qu’ils rencontrent des êtres encore plus avides, qui les écrasent et les oppriment. Oui, cela est la Loi.

 

L’être désintéressé, le chercheur vrai, qui s’aventure en nos galeries, y trouvera chaleur et accueil, il verra de minuscules créatures lumineuses, et s’il suit son cœur il sera accueilli en la Cité des Bienheureux.

Il en est ainsi, car c’est le cœur, la pureté d’un être, qui lui permet de franchir la Grande Porte. Celle-ci sent qui se présente, et s’ouvre en fonction de l’état vibratoire de celui qui cherche le chemin.

Nous vous disons qu’il en est de même, bien sûr, du voyage spatial. Il s’agit d’un voyage vers soi, d’une quête initiatique. C’est pourquoi de tels voyages comportent souvent des enfants très jeunes.

 

Eux connaissent le chemin de leur cœur.

Comme nous sommes heureux lorsque nous parcourons l’éther, en vue d’explorer un nouveau monde. Nous y atterrissons de manière invisible et faisons la récolte de pollens, de mousses, de lichens, et d’algues. Avec les moisissures, ces formes de vie pionnières sont celles qui nous intéressent le plus. Aussi lorsque nous venons chez vous, c’est une joie, car votre monde fourmille de millions de ces espèces qu’il nous est si agréable d’étudier !

Nous venons surtout pour cette raison et aussi pour apporter notre aide, soigner des créatures. Nous ne faisons rien d’autre. Les êtres tels que nous n’ont point de visées minières, ni carnivores. Nous nous nourrissons essentiellement de plantes et de minéraux. Vous avez peine à croire cela ?

Pourtant, c’est la très juste vérité.

Oui, nous sommes ainsi, et nous aimerions que vous compreniez que votre Terre n’est pas un monde fermé, c’est un monde entouré de routes spatiales dont on vous a voilé l’existence. La Terre interagit avec les autres planètes, les autres étoiles. Autour d’elle, sont tissés des liens d’énergie très puissants, qui la relient à l’univers.

L’homme qui se prend pour un dieu, s’élève et retombe. Son empire s’écroule. L’homme qui voit la main de Dieu en lui, sait qu’il est une particule du divin, il aspire toujours à plus de perfection et se reconnait en tout ce qui l’entoure.

Il aspire à suivre un chemin, un idéal toujours plus grand, vers la pureté, vers la grâce, vers la connivence avec toute forme de vie, en harmonie profonde avec la vibration primordiale de la Source.

Nous sommes de tout cœur avec vous, à vos côtés, je vous envoie mes plus hautes pensées d’amour."

Le professeur Zolmirel, ses amis terriens et aliens

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

L'illustration en tête montre un nuage lumineux apparu au Costa Rica le 15 Septembre 2015 :

http://strangesounds.org/2015/09/rainbow-clouds-pictures-costa-rica.html

 

Celle ci-dessous est un nuage iridescent visible au-dessus de Mutare au Zimbabwe le 6 Janvier 2017 et issu du site suivant, qui informe sur d'autres phénomènes étonnants de ce type :

http://strangesounds.org/2017/01/rainbow-pileus-cloud-cumulonimbus-zimbabwe-picture-storm-sign.html

 

La rieuse possibilité du voyage spatial

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