Le mouvement des galaxies
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L’infiniment petit, reflet de l’infiniment grand
Voici une série de textes courts donnant un aperçu du mouvement des galaxies que j’ai réussi à élaborer à partir de nombreuses lectures.
Il est intéressant de comparer les perceptions psychiques avec les données scientifiques les plus récentes.
Ayant effectué des rêves très profonds en ce domaine, je me suis livrée à quelques investigations pour essayer de mieux comprendre ces vastes amas d’étoiles qui fascinent les chercheurs du monde entier. Ces textes datent de plusieurs années maintenant, aussi, certains chiffres ont évolué.
Comme certaines théories sont audacieuses, voire hérétiques, pour la science officielle, il convient bien sûr de vous faire une idée en tenant compte de la perspective d’autres chercheurs, tant dans le domaine spirituel, que le domaine scientifique.
La Voie Lactée, pour ceux qui l’ignoreraient, est ce vaste ruban d’étoiles visible l’été dans les zones pas encore trop polluées de notre globe. L’été, le bras du Sagittaire, donc le centre galactique se révèle à nos yeux émerveillés.
L’hiver, c’est le bras de Persée que nous pouvons observer, lequel correspond à la bordure extérieure de notre galaxie.
LA STRUCTURE DES GALAXIES
Les galaxies tournent autour d’un point précis, comme les planètes autour du Soleil. Pourtant, le grand soleil de notre galaxie n’est pas visible, à cause de la zone obscure, formée par le bras du Sagittaire, qui masque son observation. Les galaxies forment entre elles des espèces de chaînons et des réseaux complexes.
Voici que Dorian parle :
« Ce que nous voyons des galaxies, leur aspect lumineux n’est qu’une infime partie de leur vraie nature. S’il nous fallait imaginer l’infiniment petit comme l’infiniment grand, alors, nous verrions des ponts et des arches de matière. Pourtant, cela n’est pas tout.
La lumière du cosmos que nous percevons est une vibration interne, qui est accessible à nos yeux. Nous voyons donc l’état interne de la matière.
Un observateur externe, lui, ne verrait que l’état externe, où la pénétration lumineuse se heurte à « une barrière de cohérence » électromagnétique/ micro-cristalline. Les ondes de forme empêchent de même, la lumière de pénétrer à l’intérieur des structures.
Ainsi, nous voyons tantôt l’intérieur de la matière, le cosmos, et tantôt sa surface, le monde matériel ambiant.
Lorsque nous arriverons à relier les deux plans, nous comprendrons le monde, non plus comme seule entité matérielle, mais comme fondement spirituel intégré au pilier du grand ordonnancement cosmique. »
Données de la science officielle
Les étoiles gravitent autour du centre galactique, de même que le font les planètes.
Les galaxies sont de trois types principaux : irrégulières, environ 10 à 20%, elliptiques et spirales.
La voie lactée est une galaxie spirale barrée, quoique les astronomes ne soient pas entièrement d’accord sur ses caractéristiques, le nombre de bras notamment, de six ou sept.
Image de notre galaxie, vue du dessus, montrant en particulier le zone non observable du disque, masquée par l'éclat du centre très lumineux
Le Soleil a une orbite sinusoïdale autour du plan galactique. Il ne se déplace pas en ligne droite, mais comme suivant le petit schéma ci-après :
Le Soleil est situé dans le bras d’Orion, à bonne distance du bulbe, à environ 26 000 années lumière du centre. Le bulbe est le cœur de la galaxie, formé d’étoiles particulièrement proches et nombreuses. Il occupe la position de la constellation du Sagittaire et forme la trainée nocturne estivale du disque galactique. Le bras hivernal moins brillant, se nomme lui, bras de Persée.
Nous ne voyons ces bras galactiques que de profil, puisque nous sommes à l’intérieur.
Le cœur de la galaxie comporterait un, voire plusieurs, trous noirs. Les étoiles se déplacent indépendamment les unes des autres dans une sorte de ballet complexe autour du centre galactique. (Les textes spirituels, parlent eux, plus volontiers d'un grand Soleil central et se recoupent globalement. )
Les étoiles vont à des vitesses différentes et avancent en traversant les bras des galaxies, formés eux, de poussière interstellaire.
Les bras tournent également, mais de manière indépendante par rapport aux étoiles.
Sous l’effet de l’attraction gravitationnelle, les galaxies possèdent des bras plus ou moins resserrés. Celles qui comportent des étoiles jeunes sont de teinte bleue et vive. Au contraire, les vieilles étoiles sont rouges et peu lumineuses.
Le spectre lumineux des galaxies varie également avec la distance. Plus un objet spatial est éloigné dans le temps et l’espace, plus il sera flou et rougissant. Le temps et la révolution des étoiles est plus rapide que celui des bras.
Les bras seraient surtout composés de gaz interstellaire et de poussières. C’est la lumière des étoiles qui nous révèle l’existence de ces poussières, autrement, les bras galactiques resteraient invisibles.
Au passage d’étoiles et en raison de leur action gravitationnelle, les bras prennent une couleur bleutée fort vive. Le gaz qu’ils comportent s’échauffe alors. Ce phénomène est propice à la naissance de nouveaux corps stellaires. Un peu comme une réaction en chaîne.
Les étoiles avancent plus vite que les bras dans l’espace. Les étoiles les plus vieilles et les plus rouges se rapprochent du centre galactique, qui les aspirerait à la fin, mais cela n’a pas encore été observé. Les étoiles bleues et jeunes sont surtout présentes dans la bordure extérieure des galaxies.
Les scientifiques pensent que plus ils remontent loin dans le temps et la distance, et moins ils trouveront d’objets. Une galaxie située à 12.9 milliards d’années-lumière a pu être photographiée par des Japonais en 2012, au moyen d’une très longue prise de vue, un exploit.
Ce record a été battu récemment, suite à la photographie d’un objet situé à 13.1 milliards d’années lumière.
Photographiée dans le proche infrarouge, la galaxie EGS-zs8-1 a été colorée en bleu © Nasa, Esa, P. Oesch et I. Momcheva (Yale University), 3D-HST, HUDF09/XDF Teams
Cette image exprime l’ardeur et la frénésie des jeunes étoiles qui y sont nées. Celles-ci « furent les principaux moteurs » de l’ère de la réionisation, dans l’enfance de l’Univers, d'après le site Futura Sciences.
L’âge du Big Bang a été revu par le satellite Planck, d’observation du fonds diffus cosmologique, à 13.77 années–lumière.
Planck tente de reconstituer l’univers peu-après cette période, en captant, puis en analysant le rayonnement cosmologique fossile.
Ce rayonnement, qui a jailli à l’époque du Big Bang, est encore observable, notamment par le bruit caractéristique de certains récepteurs radios suffisamment sensibles.
Les astronomes pensent dans l’avenir, pouvoir observer le plasma originel qui a précédé le Big Bang. Il s’agirait d’une gigantesque sphère de gaz lumineux.
Pour ce faire, des radiotélescopes sont utilisés, comme Alma. Ils détectent les ondes millimétriques infimes présentes dans le cosmos, notamment les infrarouges, arrêtés par l’atmosphère terrestre en majorité.
Malgré ces immenses progrès, 10 à 20 % seulement de la masse des galaxies a pu clairement être identifiée.
La matière à l’origine de l’attraction gravitationnelle demeure toujours inconnue. La masse manquante des galaxies intrigue les astrophysiciens.
Ils pensent que la « matière noire » et « l’énergie sombre », joueraient un rôle dans l’expansion de l’univers.
En ce jour, surprenant hasard, Planck vient de dévoiler une magnifique image de l'univers originel, visible juste ici :
Sur ce superbe panorama, le jeune univers n'est âgé que de 380 000 ans. Planck a patiemment collecté les anisotropies (micro-anomalies) de température pour reconstituer cette carte.
L'article intégral sur cette belle découverte est consultable ici :
J'ignorais absolument cette heureuse nouvelle lorsque j'ai commencé à écrire cet article !
Les amas de galaxies - La structure de l’univers
Les astrophysiciens ont découvert que les galaxies se groupent en amas, puis en superamas. Les galaxies formeraient une trame avec des filaments. Le résultat serait une structure ressemblant à une toile d’araignée lumineuse.
Des vides vertigineux ont été confirmés entre les amas de galaxies.
Les galaxies elliptiques forment le cœur de chaque amas, les galaxies spirales sont présentes en périphérie et gravitent autour.
Voici une carte de ces superbes amas.
La Voie Lactée, au centre, est située dans le Groupe Local.
Ce Groupe de galaxies occupe lui-même l'amas, puis, le superamas de la Vierge.
Le Groupe Local ne comporte qu'une trentaine de corps, notamment la fameuse galaxie d'Andromède, visible à l’œil nu.
L'amas de la Vierge est lui, un ensemble de galaxies d'une taille considérable. Le superamas de la Vierge est encore plus gigantesque !
L’ensemble des galaxies converge vers une région de l’espace baptisée le Grand Attracteur.
Le site de l’Observatoire National de Paris évoque un espace constitué de filaments galactiques à l’aspect feuilleté et ressemblant à une éponge.
Les « murs » apparaissent également. Il s’agit de longs filaments galactiques masquant l’espace situé en arrière-plan.
Peut-être par un phénomène gravitationnel, ou parce qu’ils sont constitués de gaz.
La masse des galaxies irrégulières, siège de la formation d’étoiles jeunes, serait très faible.
Au contraire, les galaxies elliptiques sont très massives, car comportant beaucoup de vieilles étoiles en leur centre. Les galaxies spirales, plus intrigantes, puisqu’elles comportent un trou noir central, sont présentes en périphérie des amas galactiques.
La théorie des frères Bogdanov
D’après l’ouvrage « Le Visage de Dieu »
Les frères Bogdanov affirment que l’univers a été généré à partir d’une matrice originelle. Cette matrice est toujours présente dans la création à notre époque, quoique en dehors de notre monde, donc de la dimension spatio-temporelle. Elle agit de manière sous-jacente. Ses effets se font ressentir en filigrane, notamment au plan de l’astrophysique.
Lors de la Fondation, les Bogdanov pensent, je suppose avec raison, que l’entité bienfaisante ayant crée le monde, a agi par et pour l’Amour. Son plan est condensé en arrière du monde et perceptible au delà du temps, en dehors de toute inscription dans la matrice spatio-temporelle.
Nos vies et notre constitution physique matérielle, font que nous sommes inscrits dans un plan différent, lequel n’est pas fixe. Il suit un écoulement spatio-temporel lié à un programme préconçu. Ce programme est fixe.
Il a initié les éléments maîtres, les grandes constantes de la physique :
- vitesse de la lumière
- accélération de la pesanteur
- nombre d’Avogadro (en gros le poids des atomes et des molécules)
La liste n’est pas exhaustive. Ces valeurs fixes sont les seuls éléments invariants dans toute la création. Les Bogdanov ont constaté par le calcul, que si l’on change quelques décimales à ces chiffres incroyables, l’univers ne s’équilibre pas, la cohésion atomique et la gravitation ne peuvent naître. Parfois, ces constantes sont des chiffres avec plusieurs centaines de décimales après la virgule.
Les Bogdanov sont les seuls physiciens ayant le courage d’écrire sur la Fondation, cette période si mystérieuse ayant précédé le Big Bang.
Le Big Bang a eu lieu il y a un peu plus de 13 milliards d’années. Ils affirment que pour la lumière, pour les photons ayant jailli de cette explosion primordiale, ce trajet historique a duré si brièvement, qu’il n’est pas mesurable.
Donc, pour les photons, cette période fantastique de 13 milliards d’années n’aurait même pas duré une seconde, à cause de la relativité.
Leur livre aborde également les théories ayant trait à la physique quantique.
Ils exposent ainsi que la matière est énergie, mais qu’elle possède également une conscience. Ainsi, elle tendrait à suivre un plan interne qui lui serait incorporé en essence. Cet incroyable dessein du créateur de toutes choses aurait été effectif dès le Big bang.
Les Bogdanov formulent ensuite un exemple inattendu. Ils évoquent le temps réel, à deux dimensions tel que nous le connaissons, lequel s’écoule chaque jour.
Ce temps est opposé au temps imaginaire, dans lequel, la dimension spatio-temporelle, de même que l’énergie et le mouvement, n’existent pas. A la place se trouve une forme d’énergie imaginaire, les évènements y sont condensés sous forme d’information. Ainsi, ils sont écrits avec un codage ressemblant au bit numérique.
Les évènements, hors de la matrice spatio-temporelle existent, mais n’ont pas de réalisation. Ils ressemblent à une vidéo pour laquelle l’histoire ne se déroulera pas, si elle n’est pas lue.
Ainsi, la perception que l’on a du film, le ressenti humain le fait exister. Autrement, ce n’est qu’une information sur un DVD.
L’inscription des évènements dans le temps, serait un peu comme le fait de voir un film. Le plan de l’expérimentation humaine, la perception du réel inscrit ce dernier dans le temps.
D’une certaine manière, la perception des évènements conditionnerait la réalité. Ce serait l’expérimentation, qui positionnerait le réel à l’intérieur d’un champ de causalité.
Je constate simplement que la science et la spiritualité semblent se rejoindre, même s'ils n'osent encore l'avouer pleinement.
Voilà donc une brillante et joyeuse avancée dans la compréhensions des mystères de notre temps, où les grands esprits se rencontrent peu à peu !
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu'il ne soit pas coupé
- qu'il n'y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à notre blog http://une-petite-lumiere-pour-chacun.over-blog.com
Pour en savoir plus sur les galaxies, il est possible de consulter les sites suivants :
Sur les amas de galaxies :
http://atunivers.free.fr/superc/psccset.html
Sur le Grand Attracteur :
Sur la découverte possible de deux planètes supplémentaires dans le système solaire :
Sur la galaxie la plus lointaine jamais découverte :