LA VACCINATION, UNE INNOCUITE DISCUTABLE
Ces enfants devenus anormaux à la suite d’un vaccin, dont on commence à parler
Chers Français, chers citoyens, chers habitants, chers clients, ne vous inquiétez pas les vaccins sont là pour vous protéger des maladies !
Cela est-il la vérité ? Les vaccins sont un sujet de plus en plus débattu, voire controversé, par les spécialistes de la santé à travers le monde.
Les vaccins, ces injections obligatoires, ces rappels soi-disant conseillés, que l’on vous force tout de même à effectuer, sont-ils réellement sans danger pour l’organisme humain ? (En particulier, les personnes fragiles, telles que les nouveau-nés et les personnes âgées)
Allant de la grippe, à la diphtérie, en passant par la rougeole, c’est une multiplicité de mini-maladies que l’on inocule mensuellement aux tout petits. Chaque injection peut contenir jusqu’à six maladies atténuées, ce qui est beaucoup d’un seul coup pour un bébé.
Il s’agit simplement pour moi de dénoncer ce qui est trop souvent occulté par les médias, à savoir qu’il existe toujours des personnes dont on ne parle pas, pour ne pas déranger ces circuits de consommation bien établis.
Je pense ici à ces enfants, normaux à la naissance, et qui se retrouvent atteints de graves maladies à la suite des vaccins, et d’une contamination par les métaux lourds. Certains d’entre eux sont en fauteuil roulant, sans espoir, et c’est une souffrance pour des milliers de familles.
C'est à eux que je pense en écrivant cet article, à ceux qui ont fait confiance à la médecine, et qui se retrouvent délaissés, avec un enfant handicapé dont ils doivent s'occuper au quotidien.
De plus en plus d’études tendent à prouver que la vaccination n’est pas efficace pour protéger les enfants, voire même, qu’elle réduirait significativement l’efficacité de la réaction immunitaire face aux germes pathogènes.
Une immunodéficience qui pose sérieusement question, surtout lorsque les populations sous-alimentées d’Afrique, mais aussi d’Inde sont vaccinées à tour de bras contre la rougeole ou les oreillons.
Pourquoi injecter ces vaccins à des nouveau-nés à l’organisme affaibli et sous-alimentés ? Le risque encouru est certainement encore plus grand que les éventuels bénéfices.
A moins que la vaccination ait un tout autre but, un but haïssable certes, mais qui pose sérieusement question. Celui d’étendre les maladies, de fragiliser les populations, voire, de les rendre plus sensibles à des maladies incurables, comme le SIDA.
Certaines sources, qu’il convient de creuser bien sûr, affirment que le SIDA aurait été crée en laboratoire. Des souches porteuse auraient été inoculées, mélangées au vaccin contre l’hépatite A à 10 millions d’Africains, précise ce site, en français. D’autres sites plus détaillés, sont hélas seulement en anglais.
http://seroposition.canalblog.com/archives/2013/07/10/27612267.html
Après avoir lu et entendu cette hypothèse du SIDA crée de toutes pièces, je suis stupéfaite qu’une enquête officielle n’ait pas été ouverte par les autorités, en particulier l’ONU. Si cela est véridique, il s’agit d’un crime contre l’humanité.
En Afrique, beaucoup de familles ne veulent plus faire vacciner leurs enfants, car ils ont constaté des problèmes de santé, suite aux injections, ce qui concorde avec la dangerosité des vaccins. Mais la voix de ces populations n’est pas entendue.
En Algérie, dans un petit village, une association dénonce les faits suivants. Des enfants ont été vaccinés contre le B.C.G. dans les années 1950, avant l’Indépendance, cinq d’entre eux sont morts. Les laboratoires ont versé des pots de vins généreux aux familles effondrées afin de les faire taire, mais l’histoire a circulé.
Ici, il est question d’un bébé de un mois en parfaite santé, qui est décédé suite à la vaccination contre le B.C.G. :
LE VACCIN DU B.C.G. N'A PAS ÉTÉ RETIRE DE LA VENTE, IL EST TOUJOURS COMMERCIALISE !!!
Ce n’est pas le seul, précise ce site, puisque en Belgique, d’autres bébés sont décédés eux aussi.
Les vaccins ont clairement l’air impliqués dans la mort subite de ces bébés, mais, comme cela dérange les laboratoires de l’admettre, l’autopsie de ces pauvres enfants est refusée malgré le caractère suspect de leur mort.
Pour les parents, bien sûr, c’est un calvaire.
UNE INFIRMIÈRE PARLE :
Confirmant de telles hypothèses, une infirmière à la retraite qui faisait partie de groupes humanitaires pendant la guerre d’Indochine, a affirmé que les protocoles vaccinaux en vigueur durant ses études n’étaient point respectés de nos jours.
A savoir, que les personnes susceptibles de recevoir un vaccin, devaient être en parfaite santé et posséder une bonne hérédité. Elle explique bien que les vaccins présentent certains risques chez les enfants fragiles.
Cette infirmière a ajouté que l’administration de vaccins à des enfants sous alimentés, n’était pas souhaitable, et même dangereuse.
En effet, l’organisme durement éprouvé par les privations, ne peut pas donner de réponse immunitaire satisfaisante, et les enfants ont un risque accru de développer les maladies contre lesquelles on les vaccine. Cela tendrait à dérégler leur système immunitaire.
L’ÉTUDE KIGGS, DES RÉSULTATS SURPRENANTS
C’est ce que montre une étude réalisée en Allemagne à l’Institut Robert Koch, l’étude KIGGS, laquelle a été approfondie par Angelika Kögel-Schauzt, laquelle s’exprime sur la vidéo présente sur la page suivante.
http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/les-enfants-non-vaccines-sont-en-48580
Voici un extrait de cette étude consultable ici :
Les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 contre 10,6 %) pour le rhume des foins on trouve 10,7 contre 2,6 % (4 fois moins), pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 % (7 fois moins), pour les névrodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % (64 fois moins !) et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %.
Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.
On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres, 5,3 % contre 0,5% (10 fois moins), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 % (7 fois moins).
Quant aux problèmes de vue, les non vaccinés portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a constaté que les vaccins endommagent les nerfs optiques. Il avait parlé d’« épidémie de lunettes » à cause du nombre croissant de vaccins administrés aux enfants.
Les travaux de l'Institut Koch ont aussi mis l’accent sur les maladies infectieuses. Les pneumonies touchent 11,07 % des enfants vaccinés alors qu’il n’y en a que 7,75 % chez les autres et pour les otites, on passe de 11 % à 2 %.
L’incidence des maladies infectieuses pour les 7 à 17 ans, ont été étudiées pendant les 12 mois précédent le sondage. On en a déduit que le système immunitaire des non vaccinés fonctionne normalement, alors qu’après la vaccination, il devient fou ou se bloque.
Certes, il s’agit d’une accusation très grave, et on n’accuse pas sans preuve. Je vous laisse donc juger en consultant le tableau ci-dessus, dans lequel la colonne bleue représente les enfants vaccinés, et la rouge, ceux qui n’ont pas été vaccinés.
Vous constaterez donc que le nombre de maladies est nettement plus faible chez les enfants non-vaccinés. (les vaccins ne sont pas obligatoires en Allemagne)
LES ADDITIFS TOXIQUES DES VACCINS TOUJOURS PRÉSENTS MALGRÉ LES DÉCÈS
En Europe, c’est presque pire, même si les injections sont plus contrôlées, elles contiennent de grandes quantités de sels d’aluminium (hydroxyde d’aluminium), des fluorures, et aussi du mercure (thimoseral/ éthylmercure).
Le mercure a soi-disant été retiré des vaccins, cependant, aux États Unis, il demeure toujours présent. C’est en particulier la raison de la vive colère de Jim Carrey, lequel dénonce avec courage la présence de neurotoxines et de mercure dans les injections.
http://www.francetvinfo.fr/sante/jim-carrey-pique-une-colere-contre-les-vaccins_980177.html
Voici un petit extrait, assez édifiant :
« Sauf que l'acteur confond le méthylmercure, une neurotoxine présente dans le poisson, et l'éthylmercure, utilisé pour conserver les vaccins, explique le Huffington Post (en anglais). Le site a interrogé Paul Offit, le directeur Vaccine Education Center à l'hôpital pour enfants de Philadelphie. Et pour ce spécialiste, le thimoseral, le conservateur composé à 49% de mercure auquel fait référence Jim Carrey, ne doit pas effrayer le public. » ( !!!!!!!)
Les sels d’aluminium, et aussi les revêtements en aluminium des batteries de cuisine, sont reconnus comme néfastes pour la santé. L’aluminium serait impliqué dans un grand nombre de maladies, notamment Alzheimer et la sclérose en plaques, sans parler de l’autisme.
Ci- après, deux articles présentant les travaux du professeur Christophe Exley, de l’université d’Oxford sur la toxicité de l’aluminium alimentaire, lequel créée des dépôts dans le cerveau :
http://www.medisite.fr/a-la-une-trop-daluminium-favoriserait-la-maladie-dalzheimer.710473.2035.html
http://www.keele.ac.uk/pressreleases/2014/aluminiumanditslikelycontributiontoalzheimersdisease.html
L’effet du fluor (fluorure d'aluminium) sur le système nerveux est particulièrement puissant, il n’en suffit que très peu.
L’eau potable des camps de concentrations était fluorée afin de maintenir les détenus dans un état passif, de les affaiblir psychiquement.
Le pire, ce sont ces parents qui ont fait vacciner leurs enfants sous la contrainte du milieu scolaire.
Que dire de cette mère charmante, rencontrée par hasard, dont la fille de 16 ans a reçu un vaccin contre le cancer du col de l’utérus, et qui est à présent intoxiquée aux métaux lourds ?
Cette femme courageuse qui a effectué des interviews télévisées doit se battre pour dénoncer cette dictature de la vaccination. Elle doit payer des soins à sa fille à un coût exorbitant, pour purifier l'organisme des métaux lourds.
Que dire de cet enfant normal à la naissance, jusqu’à 18 mois, qui a reçu une série de vaccins comme la plupart des enfants ?
C’est aujourd’hui un jeune homme de 33 ans, atteint de troubles du comportement, qui ne parle pas, et son développement intellectuel a été brutalement stoppé. Ce jeune homme ne peut même pas faire de sport, alors qu’il s’agissait d’un bébé en plein santé, destiné à être normal !
Un médecin belge pointe du doigt une vraisemblable réaction suite au redoutable vaccin du BCG.
Face à la révolte des parents, ce médecin déclare à peu de choses près ceci, que « c’est ainsi, on ne peut rien faire pour revenir en arrière, il est normal qu’environ 5% d’anomalies surviennent à la suite de vaccins. » ( !!!)
Donc, en gros, la réaction du médecin revient à cela, c’est un risque à courir, maintenant, votre enfant est anormal. C’est comme ça ! Débrouillez-vous, moi, je m’en lave les mains !
L’histoire la plus révoltante est celle d’une jeune fille prénommée Sandrine, suivant une scolarité normale, laquelle a reçu une injection contre l’hépatite B au cours de sa 18ème année, juste après son bac, sur les conseils d’une infirmière scolaire. En effet, elle se destinait à une carrière médicale, et ce vaccin est obligatoire.
Elle a tout de suite fait une réaction très violente, elle a commencé à avoir d’épouvantables douleurs dans tout le corps. Au bout de plusieurs mois, des problèmes de mobilité sont apparus. Un diagnostic a été établi suivant lequel, cette jeune fille en parfaite santé, avait à présent la sclérose en plaques, une maladie nerveuse dégénérative qui abaisse significativement son espérance de vie.
Je tiens à signaler qu’elle se déplace en fauteuil roulant, car elle a complètement perdu l’usage de ses jambes.
Voici une histoire similaire, aussi révoltante, qui est arrivée à une jeune fille vivant en Nouvelle Zélande : (vidéo)
http://seroposition.canalblog.com/archives/2015/07/22/32389885.html
Ces cas embarrassants sont passés sous silence, bien entendu, par les laboratoires, pour continuer à vendre massivement leurs injections, soi-disant élaborées pour protéger notre santé.
Et je ne citerai pas tous ces autres cas de parents qui se retrouvent avec un enfant de 18 mois qui se met soudainement à développer des maladies diverses et variées, dans lesquelles malheureusement, la vaccination n’apparaît pas clairement comme la cause première.
En effet, l’inertie entre l’apparition des troubles de la santé et les injections, peut aller jusqu’à trois mois. Cela rend donc de tels troubles comme difficilement imputables aux vaccins.
Chacun sait pourtant, que c’est à 18 mois que la plupart des jeunes enfants reçoivent leurs lots de rappels vaccinaux. C’est aussi à cette période que la plupart des enfants autistes sont décelés.
Beaucoup d’enfants sont épuisés après avoir reçu les vaccins, surtout vers dix ans. Souvent, ils ont des boules au niveau du point d’injection. Comment une injection qualifiée de banale et sans danger, peut elle mettre à ce point l’organisme à si rude épreuve ? Il y a là quelque chose d’incohérent.
Donc, lorsque des parents se retrouvent avec un enfant anormal à cause d’un vaccin, ils n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. Les médecins se débarrassent du problème et des professionnels de la santé disent aux parents effondrés qu’ils n’ont aucun recours. De tels parents sont complètement mis à l’écart du système médical.
Ou alors, ils doivent chercher par eux-mêmes des méthodes de soin au coût exorbitant, comme la chélation, pour purifier le corps des métaux lourds.
Un médecin courageux, le professeur Henri Joyeux, dénonce publiquement de tels scandales, qui menacent directement la santé publique, en particulier l’ajout de sels d’aluminium comme conservateurs.
Suivant ses recherches, les produits suivants sont contenus dans les vaccins :
- le formaldéhyde (cancérigène)
- le mercure (neurotoxique)
- l’aluminium (neurotoxique)
ou le phénoxyéthanol.
« Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur
scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1, Pandermix, avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants. Il s’agit d’une maladie grave et incurable. Hélas, cette catastrophe sanitaire n’a même pas été compensée par des vies sauvées par ce vaccin.
Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la
maladie de Guillain-Barré (paralysie).
Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd’hui au centre d’un scandale qui n’en finit pas. Selon le décompte effectué par l’association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès.
Pour toutes les maladies, il y a des personnes «à risque», et d’autres qui le sont moins.
Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications.
Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire.
Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système.
Le calendrier vaccinal propose dès le 2ème mois le vaccin Hexavalent contre 6 pathologies à la
fois, ce qui est très lourd :
Diphtérie
Tétanos
Polio
Coqueluche
Grippe
Hépatite B.
À ces pathologies concentrées en un seul vaccin, il faut en ajouter une septième. Elle est administrée à part: c’est le vaccin contre le pneumocoque, qui contient en plus du phosphate d’aluminium comme adjuvant. »
Je tiens à ajouter que ce médecin incrimine également les hormones de la pilule contraceptive dans l’augmentation des cancers du sein.
Il a été actuellement radié de l’Ordre des Médecins pour avoir tenu un discours qui s’opposait au business ambiant. Il serait intéressant de savoir si les membres de l’Ordre des Médecins sont actionnaires des principaux laboratoires implantés en France (premier pays producteur de vaccins au monde).
Cette réaction montre bien que l'Ordre craint une levée de boucliers des professionnels de la santé, face aux vaccins, qu'ils n'utilisent certainement pas pour leurs enfants.
Pourquoi le professeur Henri Joyeux aurait-il pris de tels risques si les vaccins étaient inoffensifs ?
D’autres chercheurs ont effectué des études aux États Unis, afin de savoir s’il existait une différence entre la santé des enfants non vaccinés et vaccinés.
Il a été établi que les enfants non vaccinés présentaient une santé supérieure à celle des autres. Ils ne développaient pas ces pathologies chroniques telles que l’asthme, mais aussi l’insuffisance cardiaque, ou encore les maladies auto-immunes (le lupus par exemple) qui font souffrir des millions de personnes à travers le monde.
De telles maladies supposent un traitement médical à vie, lequel est source évidemment de profits bien juteux pour tous les laboratoires.
Donc, bien sûr, il convient de se demander à quoi sert réellement la vaccination, si ce n’est d’affaiblir significativement la réponse immunitaire dès la naissance, afin que le futur adulte soit sensible à tout un tas de maladies (coryza, grippe, bronchite, voire cancer) et développe des pathologies.
Sur la page internet ci-dessus, il est question d’un récent scandale vaccinal :
(Extrait)
« Le Freedom Of Information Act (FOIA = Loi de Liberté d’Information) américain, mis en œuvre par un médecin, a révélé 30 ans de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux :
- savaient que les vaccins ne marchent pas ;
- savaient qu’ils provoquent les maladies qu’ils sont sensés prévenir ;
- savaient qu’ils sont dangereux pour les enfants
- se sont entendus pour mentir au public ;
- ont travaillé pour empêcher les études de sécurité.
Et ce sont ces vaccins qui sont imposés aux américains !
Les parents avisés peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des mensonges les plus diaboliques de l’histoire, selon lesquels ces vaccins seraient un miracle de la médecine moderne, alors qu’ils comprennent des métaux lourds, des maladies virales, des mycoplasmes, des matière fécales, des fragments d’ADN d’autres espèces, du formaldéhyde, du polysorbate 80 (facteur de stérilité), voir : http://organichealthadviser.com/archives/polysorbate-80-in-swine-flu-vaccines-infertility-in-humans
Un médecin américain, le Dr Brian Hoocker (PhD) dont le fils est autiste, a eu recours au FOIA pour savoir ce que le CDC (Centre Américain de Contrôle des maladies) savait des dangers des vaccins. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement le juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.
Une injection unitaire ne contient à priori pas de dose dangereuse de sels d’aluminium, suivant les prescriptions de l’OMS.
Mais des injections répétées, une centaine avant la dix huitième année, voire plus aux États Unis, sont très nocives et constituent une intoxication grave de l’organisme aux métaux lourds.
LE CHANTAGE VACCINAL
Les parents qui refusent les vaccins sont trainés devant les tribunaux, on porte atteinte à leur réputation en les faisant passer pour des « monstres ». Ils subissent toutes les pressions, et finalement sont placés …derrière les barreaux. Eh oui…
Les parents qui sont cités sur cet article que je vous invite vivement à voir, ont subi la menace de se voir retirer leur bébé !
Sommes-nous encore en démocratie ?
LES PERSONNES QUI ÉCHAPPENT AU LOBBY MÉDICAL
Sauf que ce que l’on ne vous dira pas, c’est que certaines personnes n’ont pas tous ces problèmes, je pense bien sûr aux médecins, qui doivent s’arranger entre eux pour ne pas mettre en péril la santé de leurs propres enfants.
Cela est très bien, mais la santé des autres ? Est-elle négligeable ?
Sans parler de la non-vaccination pour raisons religieuses dont personne ne parle ! Eh oui, les vaccins ne sont pas cashers, les personnes de confession juive les refusent systématiquement et personne ne les ennuie.
Mais l’internet est là, désormais, ce qui se passe aux États Unis a fait le tour du monde. Ces parents qui sont soucieux de la santé de leurs enfants et dénoncent des menaces dans la vidéo ont ému de nombreux internautes. Après recherches, je n'ai pas retrouvé le lien.
La pétition du professeur Joyeux ci-dessous a atteint des records en quelques jours.
LE CHANGEMENT EST EN MARCHE
J'ai discuté avec de nombreuses personnes, et ils sont tous d'accord avec moi.
Nous ne voulons plus de ce système, qui est érigé simplement pour générer profit et soumission à des laboratoires mercantiles, qui se moquent d’empoisonner ou non la population. Nous ne sommes pas des cobayes !
Nous voulons un système sain, où le médecin soit une personne qui parle avec transparence et qui oriente le malade vers des méthodes de soin respectueuses du corps et de l’environnement, des méthodes de soin qu’il serait susceptible de conseiller à ses proches et d’employer pour lui-même.
Les vaccins doivent devenir inoffensifs ou disparaître. Les produits dangereux qu’ils contiennent, doivent être remplacés par des additifs sains, sans danger pour les bébés.
Il est intolérable d’être parent et d’être forcé par la loi à administrer des métaux lourds à ses propres enfants, sous peine de poursuites judiciaires et de chantage !
Nous sommes au 21ème siècle, celui du progrès et de la tolérance. Refuser les vaccins, ce n’est pas un acte iconoclaste, c’est simplement prendre sa santé en main et aller vers d’autres méthodes de soin, plus réfléchies et en accord avec soi-même.
Vous trouverez ci après un site brillant lequel donne un mode d’emploi pour échapper à l’obligation de vacciner vos enfants, tout en restant en accord avec la loi bien sûr :
En espérant que cet article aidera toutes les personnes, parents et enfants qui sont confrontés à de telles obligations.
Vous êtes invités à reproduire cet article s'il vous a plu et à le diffuser autour de vous.
Pour ceux qui aimeraient en savoir plus sur les études liées aux vaccins :
http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285
INPES,
World Health Organization,
McNeil, C. (2006). «Who invented the VLP cervical cancer vaccines? ».
J Natl Cancer Inst 98
Skinner SR et coll.: Efficacy, safety, and immunogenicity of the human papillomavirus 16/18 AS04-adjuvanted vaccine in women older than 25 years: 4-year interim follow-up of the phase 3, double-blind, randomised controlled VIVIANE study. Lancet, 2014) et Castle PE, Schmeler KM : HPV vaccination : for women of all ages ?
Harper, D. (2009). «Current prophylactic HPV vaccines and gynecologic premalignancies» (PDF).
Current opinion in obstetrics & gynecology 21 (6): 457–464.
http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/02/16/23401-quand-virus-grippe-se-joue-vaccins