L'énergie libre (1/2)

Publié le par Aurélia LEDOUX

L'énergie libre (1/2)

Une mouvance perpétuelle basée sur les champs de gravité terrestre

 

Le but de cet article est d’illustrer et de présenter les travaux les plus récents sur l’énergie libre. Il s’agit simplement ici de donner un bref aperçu de ces technologies prometteuses qui recèlent une compréhension nouvelle des lois de notre monde. Comme ces études sont en constante progression, je vous invite à vous documenter davantage si vous voulez en savoir plus.

 

Il y a bien longtemps que l’homme parcourt la Terre et qu’il dévore ses ressources, sans rien offrir en retour.

Dès lors, cela génère un cercle imparfait. Certains savants pensent ainsi que la Terre est un être vivant sensible. En effet, notre planète bien aimée, face à autant d'agressions, se déchaîne à son tour, faisant naître typhons, raz de marée et séismes. Et alors, l'homme pensant avec un grand H se demande bien pourquoi.

L’énergie fissile issue de la radiation nucléaire est soutirée violemment, en bombardant un innocent alliage d’uranium  artificiellement enrichi, de neutrons. Je précise innocent, car l’uranium à l’état naturel possède une faible teneur radioactive.

Il semble que les anciens aient employé le phosphore ou l'uranium inerte (U 238 ?) qu'ils connaissaient bien, notamment à des fins d'éclairage. Cela fait partie des mystères de l'histoire, comme le feu grégeois, et l'orichalque. Ces lampes seraient restées allumées pendant des centaines d'années d'après les récits de plusieurs auteurs.

Il existe plusieurs articles très intéressants sur les lampes éternelles découvertes au fil des siècles, par les Romains, entre autres.

https://lesavoirperdudesanciens.com/2017/07/lampes-perpetuelles-des-lampes-qui/

 

A l’état naturel, l’uranium est peu dangereux et c’est l’homme qui le transforme en uranium enrichi radioactif pour l’utiliser dans l’industrie fissile. Les autres matériaux fissiles, comme le plutonium, qui n’existe pas à l’état naturel, sont bien plus dangereux, et entrent dans la composition du mox, un alliage composite utilisé par l'industrie nucléaire.

Ces éléments sont insérés sur des barres d'environ 4 mètres et placés dans un cœur de réacteur. Ils sont bombardés de particules et génèrent à leur tour une réaction en chaîne, ils vont ainsi faire éclater d’autres atomes. La puissance de cette fission est contrôlée par des barres de cadmium, pour ajuster le degré de réaction. Les barres de cadmium capturent les neutrons orphelins au besoin pour abaisser la puissance. Hélas, l’industrie ne maîtrise toujours pas l’arrêt total et instantané des cœurs nucléaires, qu’il faut refroidir en permanence.

Elle ne connaît pas non plus de protection parfaite pour isoler le corps humain des rayonnements gamma, dont une faible quantité passe. Même si le procédé de recyclage des déchets s’est amélioré, ils s’accumulent un peu partout, en évitant bien sûr que le public soit au courant de leur emplacement. Les eaux et les sols du monde connaissent une pollution aux radionucléides artificiels plus ou moins grande. Il y a bien sûr l'exemple du Japon, qui a payé un lourd tribut et dont les industriels parlent peu, afin de continuer à construire (et vendre) des centrales nucléaires.

Quoi qu’en disent les spécialistes, il s’agit d’un procédé très dangereux, tant au niveau du refroidissement, de la pollution, que du vieillissement des structures. De plus, les personnes qui travaillent et vivent à côté des centrales sont elles aussi exposées aux rayonnements gamma. Certains ésotéristes exposent que le rayonnement nucléaire est très dangereux, notamment au niveau des corps subtils de l'être humain, qu'il endommage.

 

Le cœur d’uranium enrichi d'une centrale nucléaire, est entouré d’eau en ébullition à de très hautes températures. Tout ceci constitue une cocotte minute très améliorée, dont le générateur de vapeur est relié à une turbine constellée d'aimants.

Pourtant, cette installation est simplement un moyen de faire chauffer de l’eau, pour générer un courant électrique.

Cette turbine génère un courant très haute tension, qu’il faut ensuite abaisser, jusqu’au 220 Volts à l'entrée des villes, au moyen de transformateurs.

Il s’ensuit donc une énorme perte de rendement, puisque l’on estime la rentabilité de la conversion de chaleur en électricité à seulement 60 % pour les meilleurs centrales nucléaires.

La perte d’énergie est due au frottement des différentes pièces mécaniques, au refroidissement nécessaire du générateur empli de combustible fissile et surtout au transport de l’électricité sur d’immenses distances !!!

L’intérieur d’une centrale nucléaire est un ensemble assez fantastique de conduits en cuivre de la taille d’un homme. On ne peut qu’admirer le savoir faire des ingénieurs qui ont conçu tous ces ouvrages.

 

Tous ces pauvres électrons arrachés par un procédé violent doivent ensuite voir leur voltage s’abaisser si l’on veut les employer en usage domestique. C’est ainsi que l'usage domestique du 220 Volts constitue une perte de courant énorme.

De nombreux transformateurs abaissent la tension brute en 220 ou 250 volts, suivant les pays du monde.

 

Tout cela a un impact néfaste sur l’environnement et notre santé. Il peut sembler étonnant de parler de mémoire de la matière, lorsqu’il s’agit de particules élémentaires. Pourtant les spécialistes de la physique quantique sont dans l’ensemble d’accord, lorsqu’ils évoquent une conscience de la matière. Ils indiquent que les électrons gardent en eux la mémoire de cette réaction brutale.

 

Pourtant, il devient insupportable d’être complice de ce processus qui a fait tant de victimes dont on parle peu, à la suite des différents accidents nucléaires qui ont émaillé notre siècle.

Devant la hausse des victimes du cancer, il convient aussi de se poser des questions.

 

Et ce, même si la presse muselée n’incrimine jamais le secteur des énergies fissiles et pétrolières, qui ont envahi notre quotidien par de multiples usages polluants, en gardant toujours les mains blanches.

Je souhaite ici rendre hommage à Yohan, un grand ingénieur du nucléaire, dont il ne souhaitait à dire vrai plus parler. Il s'était reconverti dans un autre activité, par dégoût. Au fil des ans, il était devenu photographe de talent, et ses clichés de fleurs étaient d'une très grande perfection.

Je souhaite aussi rendre hommage à une femme courageuse, je l'appellerai Leila par commodité. Elle est décédée d'une leucémie, car elle a été exposée à des produits radioactifs liquides sans protection, payant pour l'irresponsabilité de ses dirigeants. Son mari et ses enfants ont assisté à sa terrible fin sans pouvoir rien faire.

Cet article est aussi dédié à toutes les victimes directes et indirectes de l'industrie nucléaire. Mais il est aussi écrit pour rendre hommage aux chercheurs, dont les découvertes offrent un immense espoir.

Pour ceux qui sont intéressés, voici un reportage très intéressant sur les réacteurs à fusion, lesquels sont encore des prototypes, mais qui donnent beaucoup d'espoir concernant une technologie plus propre et sécurisante. Ici, la visite du chantier d'ITER dans les Bouches du Rhône.

https://www.youtube.com/watch?v=36WpRwY2DYw

 

La fusion nucléaire, contrairement à la fission, produit peu de déchets, et engendre une production d'électricité très prometteuse, d'après les spécialistes.

Il s'agit de chauffer un plasma d'hydrogène à de très hautes températures, lequel permettra ensuite de chauffer à son tour un fluide caloporteur. L'hydrogène peut être extrait de l'eau, ou du lithium, et il en faut très peu pour alimenter le dispositif.

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : 

 

 

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