L'agriculture sur Mars
Une fois n'est pas coutume, voici un article inattendu, concernant un domaine qui vous fera rêver un peu. Je parle de la belle Mars, bien sûr ! En ces temps, un saut dans l'espace est le bienvenu.
Une bonne amie, Chantal, a eu la gentillesse de m'envoyer une excellente suite de photos, voici plusieurs mois. Je tiens ici à la remercier de tout mon cœur de ses découvertes. Celles-ci sont venues confirmer beaucoup de mes recherches sur les "anomalies" martiennes, notamment concernant la présence des chaos, ou d'impacts alignés, des structures géologiques inexplicables, en l'état actuel de nos connaissances. Mais je me suis refusée à les publier, sans doute parce que tout cela est assez extraordinaire, faisant penser à une lointaine civilisation sur Mars. Lorsque l'on lit la surface de la planète, on peut entrevoir à quel point elle a été meurtrie et malgré tout, à quel point elle offre à nos yeux de splendides paysages.
Pour ceux qui aiment l'espace, la géologie, cet article leur apportera une paisible évasion. Pour les autres, je les invite à profiter des images de cette autre terre sableuse si belle, que peut-être nous pourrons un jour contempler de nos yeux, si nous en sommes dignes, avec respect, avec amour.
Ce bref exposé sur les terrasses martiennes se veut une simple hypothèse, j'ai écrit cet article dans le but uniquement de tenter une approche nouvelle. Cela dit, je ne souhaite forcer personne à me croire, chacun peut penser comme il veut.
Après tout, que savons-nous vraiment du passé de Mars ? Sommes-nous absolument certains que cette planète est sans vie ? La théorie d'une planète désertique, à dire vrai, émane des propos de groupuscules antiscientifiques de la pire espèce, qui se plaisent à colorer les paysages martiens de orange ou de rouille. Ces derniers sévissent depuis les années 1970, mais Mars ressemblerait à un paysage de l'Arizona, avec un peu de végétation et le ciel y est bleu, comme l'a si admirablement révélé le docteur Gil Levin, ainsi que plusieurs astronomes amateurs intègres, plus récemment.
Je sais bien que dès qu'il s'agit de données ou de chiffres dérangeants, des personnes prennent un malin plaisir à tout contester, en particulier aussitôt qu'une théorie hérétique est publiée. Seulement, ces personnes ne proposent rien à la place, pour expliquer ces formations, ces ruines nombreuses, ni ces étranges taches sombres saisonnières. On dirait qu'elles ne sont là que pour fermer des portes et ramener à un système de pensée verrouillé, figé par les théories de la science officielle, auxquelles il ne faut surtout pas toucher, même si elles sont fausses.
Devant la quantité d'anomalies présentes sur Mars, je leur souhaite cela dit bien du plaisir, pour tenter de tout expliquer suivant les théories en vogue. Je crains fort que celles-ci soient devenues totalement obsolètes devant la quantité croissante de nouveaux éléments, que la science ignore avec mépris. En particulier la vie de Mars, que l'on voit bien sur les images qui suivent.
Le but de cet article est de montrer que Mars était et est toujours abondamment humide, au moins en sous sol, que d'importantes ruines et des structures plus contemporaines sont présentes à sa surface, que des traces dé végétation existent, et donc, par conséquent, que cette planète est peuplée, de manière discrète, d'animaux, mais aussi de civilisations terrestres et non terrestres, vivant probablement dans son sous-sol, là où elles peuvent extraire d'importantes quantités d'eau liquide.
De nombreux experts comme Richard Hoagland, ainsi que Fred Idylle, ont été les premiers à défendre l'hypothèse tout à fait vraisemblable d'une vie passée ou présente de Mars, de la présence de végétaux, d'animaux, mais aussi de ruines, de transports, de bâtiments industriels et de possibles installations militaires plus récentes, payées certainement par les frais du contribuable, sous le couvert de multiples missions éclairs de rovers, comme Spirit, Opportunity, Curiosity, Mars Express, et tant d'autres.
Les articles pleuvent dorénavant sur le sujet, ce qui est une excellente chose. On dirait bien que cette vie qui existe à la surface de Mars embarrasse vivement les chercheurs chargés de la découvrir, puisque d'autres techniciens sont payés pour en détruire toute preuve, telles que la végétation, mais aussi les ruines, les bases et les engins volants visibles au sol ou autour de cette planète. C'est ce qu'explique Dona Haare, une technicienne qui a été remerciée par la NASA, pour avoir eu le courage de dénoncer de telles bassesses. Ayant déjà exposé à de nombreuses occasions que les photos de la NASA étaient abondamment floutées et trafiquées dans un but inavoué de levées de fond permanentes et de mascarades minières et politiques déplorables, je souhaite maintenant parler du passé de cette planète.
Ces structures en forme de terrasses, sont très troublantes, et méritent sans nul doute que l'on s'y attarde, surtout si ce sont nos lointains ancêtres ou d'anciens peuples stellaires qui les ont érigées.
Ces terrasses sont très régulières et formées de sections bien délimitées, un peu comme ce que l'on peut admirer en Asie de nos jours, dans les régions de culture traditionnelle du riz.
Voici un premier exemple sur Mars, dans la région d'Arabia terra, où ces terrasses agricoles sont extrêmement présentes. Pour mieux se rendre compte, il est nécessaire d'agrandir les clichés.
Puis, sur la Terre, dans une riziculture traditionnelle.
Il faut admettre que la ressemblance est frappante. Pour ériger de telles terrasses, les reportages télévisés que j'ai pu voir expliquent qu'il s'agit d'un travail éreintant, nécessitant beaucoup de volontaires. Il faut des centaines de personnes pour creuser. De plus, les terrasses doivent être entretenues sans arrêt, les canaux curés régulièrement, afin que l'eau puisse y circuler. Pour les agriculteurs, le repiquage du riz se fait toujours manuellement, pieds nus dans la boue, sous un soleil intense. Les pentes empêchent la mécanisation. Les terrasses sont le moyen de cultiver de plus grandes surfaces en montagne, et de maintenir un niveau d'eau régulier sur des plantations en pente, pour éviter que l'eau ruisselle au bas des sommets.
Il en existe beaucoup dans les Andes également, car le relief y est très escarpé. Le plus célèbre exemple est certainement la cité de Macchu Picchu.
Le but de ces cultures est d'obtenir de bonnes récoltes, d'optimiser pleinement l'irrigation, même lorsque le sol est sec et pentu. Il s'agit aussi d'éviter l'érosion, et de permettre un apport d'eau permanent sur chaque surface.
Je me suis donc demandé pour quoi ces terrasses étaient présentes sur Mars, et il semble que ce soit pour les mêmes raisons.
Elles sont présentes principalement dans la région d'Arabia Terra. Le plan central de la photo s'intitule, "Crater in western Arabia Terra with stair stepped hills and dark dunes". Il est possible de la télécharger aisément sur internet sur le site de Hirise ou sur Google maps.
Cette région correspond aux coordonnées 8' 44 N - 1°03 48 O.
La zone comportant des routes ou plutôt des digues, correspond aux coordonnées 8°51 59N 1°03 50 W.
Après analyse, les terrasses sont d'environ 2 mètres de haut, donc régulièrement espacées. Il existe plusieurs zones faisant penser à des arasements, des ruines importantes, des structures sont présentes à l'intérieur de plusieurs cratères, avec là encore, des sortes de murets ou de digues, destinés vraisemblablement à contenir d'importantes quantités d'eau.
Voici une cité en ruines, ci dessous, avec une tour, de teinte plus sombre.
D'autres terrasses, plus à l'Ouest sont d'une hauteur moyenne, chaque gradin est d'une hauteur comprise entre trois et trente cinq mètres. Il est important de remarquer que chacune de ces terrasses est située au cœur d'un grand cratère. Il existe des impacts plus petits à l'emplacement possible de villages anciens avec un soulèvement localisé du sol, comme suite à une explosion. Le sol a été complètement retourné.
On voit également une érosion concentrée avec des traces de coulées immenses, l'eau ayant déferlé et ayant inondé totalement un cratère, emportant sur son passage de très gros blocs. Ensuite, l'eau s'est retirée, laissant vraisemblablement sur place ces blocs énormes, qui se sont enfoncés dans le sol argileux devenu plastique.
D'autres structures font penser à des sortes de marais salants, des cultures aussi vastes ont nécessairement du être alimentées par des pluies très concentrées, visiblement. Ce qui implique une grande connaissance du climat, et une habileté extrême de la part des habitants de ce monde.
La région d'Arabia Terra est située en une zone émergée, à environ -1400 - 1500 mètres sur la carte Google maps (400 à 500 mètres au dessus de la "mer" de Mars ).
Le fond des cratères plonge à une profondeur élevée, située sous le niveau de la mer - 2500 mètres ( - 700 mètres sous la mer)
La mer de Mars est présente à une altitude d'environ - 1800 mètres (niveau 0).
Les zones autrefois ennoyées sont celles présentes à environ - 1900 mètres d'altitude (- 100 mètres).
Les régions de l'intérieur des cratères d'Arabia Terra étaient certainement autrefois étroitement entourées de digues, pour éviter d'être inondées, lors des crues saisonnières. D'ailleurs on voit des restes de ces digues sur le pourtour sommital de certains cratères. C'est cet élément clé, qui permet d'affirmer avec quasi certitude, qu'il ne s'agit aucunement d'érosion différentielle, comme les scientifiques se plaisent à le prétendre.
Il est vrai que ces terrasses sont anciennes et à présent très érodées, mais une telle régularité, la présence de routes et d'arasements de villages en hauteur, avec de multiples angles droits, ne peut en aucun cas être le fruit de la nature.
J'ai tenté de reconstituer en coupe une terrasse à 13 niveaux avec les différentes altitudes :
Niveau 0 ennoyé -2540 mètres (- 740 mètres) Zone de sécurité de 35 mètres
Niveau 1 - 2515 mètres ( - 715 mètres) écart de 8 mètres
Niveau 2 -2507 mètres ( - 707 mètres) écart de trois mètres
Niveau 3 - 2504 mètres ( - 704 mètres)
Niveaux supérieurs - 2478 mètres (- 678 mètres)
Niveau 12 - 2459 mètres (- 659 mètres ) écart de sept mètres
Niveau 13 - 2452 mètres ( - 652 mètres)
Sur Terre, le système de culture en terrasses est très employé en Asie du Sud Est, pour permettre de conserver l'eau, lors de la saison des moussons et d'irriguer les jeunes semis de riz. C'est un travail extrêmement pénible, notamment le repiquage du riz, et l'entretien constant des terrasses, qui nécessite beaucoup de personnes.
Une telle réalisation ne peut signifier qu'une chose, c'est que Mars était autrefois très peuplée, et dans certaines zones, très humide. Il est probable ainsi que de l'eau douce, (eau de pluie, de fonte, de mousson peut-être) permettait d'amender saisonnièrement les sols.
L'examen des clichés révèle par endroits des zones sombres correspondant à de possibles limons, des terres anciennes transformées en poussière au fil du temps, et sans doute des alluvions, une sorte de terreau fertile plus foncé. Les vents martiens actuels très vifs ont balayé ces terrains plus sombres, toujours dans la même direction.
Ci-dessus, voici des arasements sans doute en ruine, présents au sommet d'une pente. En grossissant, on peut y voir de nombreux angles droits.
D'autres régions de la planète font fortement penser à des espaces portuaires et des marais salants. La taille des terrasses permet d'estimer celle des habitants, sans doute proches de notre stature, aussi peut-être d'anciens Terriens venus séjourner sur Mars, ou d'anciens Martiens, venus séjourner... chez nous ! Ces derniers auraient ensuite transmis leurs immenses connaissances à nos lointains ancêtres, expliquant peut-être pourquoi l'agriculture est apparue voici environ 8000 ans, un peu partout en même temps sur notre monde, et sur tous les continents à la fois.
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
-
qu'il ne soit pas coupé
-
qu'il n'y ait aucune modification de contenu
-
que vous fassiez référence à notre blog : http://www.unepetitelumierepourchacun.com