Expériences extraordinaires avec les arbres
Avertissement :
Suite à plusieurs messages reçus à propos d'Hubert Herrick pour une affaire de plagiat, ces textes sont livrés tel quel. Cependant, j'invite le lecteur à faire preuve de tout son discernement.
En effet, plusieurs personnes m'ont indiqué qu'il s'agissait clairement d'un escroc. Je leur ai expliqué que je collaborerais avec Hubert, tant que ses textes me paraîtraient justes et intéressants.
J'ignore si ce texte sur les arbres est tiré directement de sa plume, ou s'il l'a « emprunté », à d'autres. J'espère de tout cœur que les idées viennent de lui.
Malheureusement, certaines personnes n'hésitent pas à plagier les autres dans le but de s'enrichir. Cela est injuste et très attristant pour les vrais auteurs.
Ce texte est donc publié, avant toutes choses pour la vérité scientifique qu'il renferme. Pour les affaires de plagiat, cela n'est hélas pas de mon ressort au niveau juridique. Vous pouvez donc contacter Hubert directement sur ce point.
Cependant, si l'auteur original de ce texte n'est pas Hubert, et qu'il se reconnaît, je serai heureuse de rétablir la vérité ! Il ou elle sera le bienvenu. Bien sûr, si cet auteur véridique a écrit des articles tout aussi brillants, ce sera avec joie qu'ils seront publiés.
Tout se sait un jour, dans cette vie ou la suivante, le monde végétal est là aussi pour nous le rappeler...
Publié le 13/04/2018 par Hubert Herrick et reproduit ici avec son aimable autorisation suite à une interview relatée sur son site
(en réalité, ce n'est pas une vraie interview orale, il n'y a pas de journaliste, juste un texte écrit avec des questions préparées)
– Bonjour Hubert. Je suis contente de vous retrouver. L’autre jour nous avons parlé de la communication animale, et vous m’avez laissé comprendre que vous aviez également eu de belles expériences avec les arbres.
– Oui, tout à fait, à ma plus grande surprise, pour mon plus grand étonnement et plaisir.
– Comment cela vous est-il arrivé ?
– Cela faisait au moins une bonne quinzaine d’années déjà que je pratiquais une sorte de contact relationnel énergétique avec les arbres. Je veux dire que de manière volontaire, je pratiquais une forme d’échange en apparence à sens unique, où je plaquais ma colonne vertébrale contre l’arbre, sur le plus d’endroits possibles, mais au moins au niveau du cœur, qui est un point majeur, car c’est là que tout notre sang est brassé et renvoyé vers tout le reste du corps, avec également l’échange respiratoire qui est très intense aussi d’un point de vue énergétique. Si en plus il y a un travail délibéré de détente, concentration, ancrage à
– Comment vous y preniez-vous vous établir le contact, pendant ces premières années ?
– Je n’ai jamais varié. Parfois je chuchotais, parfois je pensais sans parler, parfois j’étais si fatigué que je ne disais rien mais le scénario était très clair dans mon esprit de toute façon. Je posais mon cœur contre l’arbre dans un respect et une confiance absolue envers lui. C’est comme si je lui livrais mon cœur. Je déposais à ses pieds mes peines et mes joies, mes forces et mes faiblesses, mes qualités et mes défauts, toute ma vitalité et mes trésors. Je lui donnais tout cela en partage. En retour l’arbre pouvait faire bien sûr la même chose avec moi. C’était pour le Meilleur, pour un échange équitable de soutien et d’entraide. Tout en mettant les bases invariable de cet échange en place, je visualisais mes pieds en train de raciner, de s’enfoncer dans la terre, mon corps ne faire qu’un avec l’arbre. L’arbre avec ses branches levées vers le ciel, qui à la fois captait toutes les énergies telluriques (de
– Je vois…
– Très souvent, je sentais une lourdeur (fatigue, soucis, stress) me quitter et un grand Renouveau (détente, douce vitalité, apaisement, regain) infuser lentement en moi. Une Harmonie, un équilibre intérieur rétabli ou amélioré, plus profond…
– C’est déjà très intéressant !
– Oui. Pendant une quinzaine d’années, mes échanges se sont limités à cela, ce qui était satisfaisant en soi. Pourtant, j’avais lu d’intéressants récits chamaniques, ou des témoignages de personnes qui avaient eu bien plus que cela. Mais je déplorais ne pas connaître le «mode d’emploi», les voies pour y parvenir.
– Ha oui ?
– Rien de ce que j’avais lu ne s’était traduit par une expérience plus forte que ce que j’expérimentais depuis pratiquement le début.
– D’accord.
– Et puis je me rappelle, c’était juste avant le Printemps 2017, je suis tombé sur 3 articles assez scientifiques d’ailleurs, qui traitaient les arbres avec une forme de respect évidente, mais qui s’attardaient sur des détails purement biologiques. L’un des articles évoquait la possibilité que certaines parties fibreuses du bois des arbres pourraient ne pas seulement avoir une fonction structurelle mais éventuellement s’apparenter à des neurones primitifs, c’est à dire véhiculer un influx de conscience. Ni plus ni moins. J’ai trouvé cette idée extraordinaire et prometteuse, même si l’article disait plus loin que jusqu’ici on n’avait pas encore identifié dans les arbres quelque chose de ressemblant par rapport aux neurones humains. Une porte avait cependant été entrouverte. J’ai poursuivi mon raisonnement selon lequel lorsqu’on étudie de nouvelles voies, par définition on ne va pas découvrir ce que l’on connaît déjà mais ce que l’on ne connaît pas encore, d’une part. D’autre part, si on considère seulement certaines voies possibles, et pas d’autres, on peut manquer quelque chose. Par contre, si on élargit son approche, c’est là que l’on fait des découvertes inattendues.
– C’est évident.
– Un deuxième article m’a également énormément interpellé. Il parlait de formations élaborées de champignons sous la terre, mêlés aux racines des arbres, reliés les uns aux autres, sur des superficies jusqu’à un kilomètre de côté, ce qui est déjà énorme. Cette fusion de racines de différentes essences d’arbres coopérant entre elles et avec d’autres formes végétales, comme les champignons, me paraissait remarquable. Les scientifiques mettaient en valeur le fait que ces formes de vie échangeaient et communiquaient entre elles de manière encore méconnues mais évidentes, à plusieurs niveaux, notamment biochimiques. Ils n’ont pas eu besoin d’en écrire davantage pour que je fasse le lien avec l’article précédent où j’entrevoyais déjà des formes méconnues de neurones végétaux. J’imaginais tout à fait les racines des arbres avoir non seulement une fonction nourricière mais aussi une sorte de fonction nerveuse inter-reliant tout à tout. Tout cela par des fibres à la fois racinaires et nerveuses. Une sorte d’Internet de la forêt par câble.
– Ha oui, je trouve l’image très parlante !
– D’ailleurs il m’était déjà arrivé d’avoir des expériences de «Totalité fusionnelle» lors de promenades en forêt, mais jamais contre un arbre.
– Je vois…
– Très souvent, je sentais une lourdeur (fatigue, soucis, stress) me quitter et un grand Renouveau (détente, douce vitalité, apaisement, regain) infuser lentement en moi. Une Harmonie, un équilibre intérieur rétabli ou amélioré, plus profond…
– C’est déjà très intéressant !
– Oui. Pendant une quinzaine d’années, mes échanges se sont limités à cela, ce qui était satisfaisant en soi. Pourtant, j’avais lu d’intéressants récits chamaniques, ou des témoignages de personnes qui avaient eu bien plus que cela. Mais je déplorais ne pas connaître le «mode d’emploi», les voies pour y parvenir.
– Ha oui ?
– Rien de ce que j’avais lu ne s’était traduit par une expérience plus forte que ce que j’expérimentais depuis pratiquement le début.
– D’accord.
– Et puis je me rappelle, c’était juste avant le Printemps 2017, je suis tombé sur 3 articles assez scientifiques d’ailleurs, qui traitaient les arbres avec une forme de respect évidente, mais qui s’attardaient sur des détails purement biologiques. L’un des articles évoquait la possibilité que certaines parties fibreuses du bois des arbres pourraient ne pas seulement avoir une fonction structurelle mais éventuellement s’apparenter à des neurones primitifs, c’est à dire véhiculer un influx de conscience. Ni plus ni moins. J’ai trouvé cette idée extraordinaire et prometteuse, même si l’article disait plus loin que jusqu’ici on n’avait pas encore identifié dans les arbres quelque chose de ressemblant par rapport aux neurones humains. Une porte avait cependant été entrouverte. J’ai poursuivi mon raisonnement selon lequel lorsqu’on étudie de nouvelles voies, par définition on ne va pas découvrir ce que l’on connaît déjà mais ce que l’on ne connaît pas encore, d’une part. D’autre part, si on considère seulement certaines voies possibles, et pas d’autres, on peut manquer quelque chose. Par contre, si on élargit son approche, c’est là que l’on fait des découvertes inattendues.
– C’est évident.
– Un deuxième article m’a également énormément interpellé. Il parlait de formations élaborées de champignons sous la terre, mêlés aux racines des arbres, reliés les uns aux autres, sur des superficies jusqu’à un kilomètre de côté, ce qui est déjà énorme. Cette fusion de racines de différentes essences d’arbres coopérant entre elles et avec d’autres formes végétales, comme les champignons, me paraissait remarquable. Les scientifiques mettaient en valeur le fait que ces formes de vie échangeaient et communiquaient entre elles de manière encore méconnues mais évidentes, à plusieurs niveaux, notamment biochimiques. Ils n’ont pas eu besoin d’en écrire davantage pour que je fasse le lien avec l’article précédent où j’entrevoyais déjà des formes méconnues de neurones végétaux. J’imaginais tout à fait les racines des arbres avoir non seulement une fonction nourricière mais aussi une sorte de fonction nerveuse inter-reliant tout à tout. Tout cela par des fibres à la fois racinaires et nerveuses. Une sorte d’Internet de la forêt par câble.
– Ha oui, je trouve l’image très parlante !
– D’ailleurs il m’était déjà arrivé d’avoir des expériences de «Totalité fusionnelle» lors de promenades en forêt, mais jamais contre un arbre.
– Ha bon ? Que s’était-il passé ?
– J’ai eu trois belles expériences de ce type. L’une des fois, je regardais une petite fleur, et tout à coup, elle s’est comme allumée très vivement, comme si elle se nourrissait de mon regard très attentif, et j’ai eu une expérience d’immersion dans la réalité de la fleur, j’ai vu toute la prairie depuis son point de vue, dans une vision à 360 degrés.
– Wouahou… !
– …J’ai senti la fleur se faire butiner par des nuées d’insectes, vivre de nombreuses alternances de jours et de nuit, de froid et de chaud. J’ai vu la fleur ressentir et partager toute la vie de cette petite prairie, traversée parfois par les animaux sauvages. J’ai vu tout cela en quelque sorte depuis le point de vue unique de la fleur, et cela m’avait profondément bouleversé. Il y a plus de 20 ans de cela et c’est une expérience touchante qui m’a énormément marqué. Ce qui m’a touché, dans cette expérience fusionnelle, c’était qu’elle était réciproque : la fleur se nourrissait de la conscience que j’avais d’elle, et en retour elle élargissait ma conscience en me transmettant toute la vitalité et toutes les informations vivantes auxquelles elle était reliée.
– Je comprends que cela vous ait marqué ! C’est très poétique et c’est aussi métaphysique…
– Oui. Cela fait des décennies que je fais très attention aux fleurs quand je randonne. Je m’efforce d’éviter de piétiner les fleurs, les herbes et les plantes quand je marche. Je surveille chaque pas. Je fais également très attention aux insectes ou aux autres petites bêtes qui pourraient se trouver sur mon passage. Il m’est arrivé d’en écarter des centaines du chemin pour leur éviter l’écrasement par d’autres randonneurs.
– Hmm, un grand respect donc.
– Toujours.
– Et l’autre expérience ?
– Je venais d’achever la partie ascensionnelle d’une randonnée et je choisissais de m’arrêter un moment dans un petit pré bordé d’arbres. J’étais assis sur un rocher en face du pré. C’était à l’entrée de l’hiver mais il faisait bon. Je pensais à la vie qui tournait au ralenti dans la terre froide et les arbres sans feuilles. Et tout à coup j’ai senti un Amour et une Vitalité jaillir de
– Ah, cela doit faire un drôle d’effet…
– Oui, c’est à la fois doux et intense, très inattendu mais très réjouissant. C’est le Triomphe de
– Finalement cela rejoint ce que certains peuples expérimentent à travers le chamanisme ancestral. Je pense aux Indiens d’Amérique.
– Oui, les Amérindiens. Bien sûr, bien entendu. C’est exactement cela. Ils allaient chercher des visions, et les obtenaient très souvent. Ils écoutaient le vent, les arbres, les pierres, ils vivaient des expériences très profondes, absolument extraordinaires. Mais tout ceci ne peut pas être approché par la voie intellectuelle, théorique, ou des stages. Je pense que cela ne suffit pas même si c’est très bien. C’est un chemin d’ouverture, du cœur, d’abandon, de don total de soi à un lieu, de confiance, de respect, de gratitude envers
– Cela ne se commande pas…
– Non. C’est un cheminement, un retour aux sources, à
– Hmm… ce que vous avez partagé nous donne déjà quelques bonnes pistes pour approfondir la question, en tout cas.
– Je crois…
– Et la dernière expérience ?
– C’est plus récent. En 2017. 2 mois avant le Printemps. Il ne faisait pas froid. Je m’étais trouvé une petite clairière sympathique avec une toute petite résurgence de source, un grand rocher plat près duquel poussait un vieil arbre, où il était agréable de s’arrêter un petit quart d’heure pour se reposer et méditer un peu…
– Et… ?
– Je me suis abandonné à un état de détente sans but, sans idée ou volonté d’atteindre quoi que ce soit, sinon un peu de paix. Et tout à coup, après m’être senti relié à cet endroit, je me suis retrouvé propulsé dans un autre, littéralement un Autre Monde loin d’ici, où l’humanité avait la taille de petites fourmis face à des arbres gigantesques de plusieurs centaines de mètres de haut. D’immenses forteresses de bois et de végétation luxuriante, avec des troncs colossaux d’un diamètre d’au moins
– C’est incroyable !
– …C’était tellement réel et intense ! Je veux dire que c’était une perception si vive et si vivante que je suis sûr et certain que cet endroit existe quelque part dans l’Univers. Il y avait une telle majesté et une telle grâce dans cette gigantesque forêt que je me souviens avoir éprouvé une humilité, une admiration et un émerveillement qu’aucuns mots ne sauraient décrire convenablement…
– Je le comprends… Et si nous en venions à présent à cette expérience que vous avez eu directement avec un arbre ?
– …J’y viens. C’était là où je voulais en venir ! J’ai en fait 2 expériences à partager avec vous que j’ai eues avec ces chers arbres… Cela s’est passé à peu près 2 mois après. Un peu avant la fin du Printemps, pas encore à l’Été.
– D’accord.
– D’abord la première. Je cheminais sur un sentier relativement plat et facile, dans une forêt avec des essences d’arbres assez variées. C’était cette même forêt où se trouvait la petite clairière sympathique avec la petite source et le grand rocher plat près duquel poussait un vieil arbre.
– Oui, je me souviens…
– Je m’étais brièvement arrêté là avant de continuer la balade, et déjà j’avais vécu une étonnante et prometteuse expérience. J’ai littéralement senti mes pieds comme raciner, ou plutôt comme développer des sortes de filaments subtils, énergétiques, qui me reliaient totalement à l’endroit. Je veux dire qu’il s’agissait d’extensions sensibles de mon être, qui étaient presque physiques. Para-physiques. Je suis à peu près certain qu’au moyen de formes d’imageries électroniques appropriées on devrait pouvoir obtenir un rendu éloquent de ce qu’il se passait à ce moment-là.
– D’accord.
– J’ai cherché à m’imprégner de cette expérience de tout mon être, puis je me suis tranquillement relevé pour reprendre ma balade, encore positivement marqué par ce moment magique. A un endroit il y avait une petite élévation de terrain avec comme une sorte de petit cercle formé par différents arbres regroupés là. J’ai choisi de m’arrêter pour passer une petite minute le dos plaqué contre chacun des 6 ou 7 arbres qui se trouvaient là. J’aimais prendre le temps d’établir un contact au moins énergétique entre tous ces arbres, faute d’avoir plus. Mais cette fois-là, j’ai eu bien plus… !
Tout d’abord, instantanément, j’ai senti se développer de nouveaux des sortes de filaments subtils, énergétiques, qui me reliaient à l’arbre contre lequel j’étais adossé. Je veux dire qu’il s’agissait d’extensions sensibles de mon être comme si l’arbre et moi ne faisions plus qu’un, pendant quelques instants. Et tout à coup, je me suis mis à voir à 360 degrés, et je voyais ni plus ni moins cet endroit de la forêt tour à tour depuis chacun des arbres qui formaient le petit cercle et contre lesquels je m’étais patiemment appuyé. Je me rappelle que cette vision était bichrome, de 2 couleurs, le vert profond et une dominante de jaune-orangé, ambré pour être précis…
– …Wouah… !
– …J’avais alternativement une vision de chaque arbre, et je me suis également rendu compte que les arbres ressentaient et entendaient les êtres qui passaient à côté d’eux, parce qu’ils ont littéralement partagé leurs impressions avec moi. J’ai eu droit à un petit aperçu accéléré des dernières 24 heures écoulées. Cela m’a à la fois profondément étonné et émerveillé. Je me souviens avoir plusieurs fois rouvert les yeux pour comparer ma vision en couleurs les yeux ouverts avec celle que j’obtenais les yeux clos, mains sur les yeux. Ces visions étaient assez semblables, ainsi il ne s’agissait donc aucunement d’une illusion ! Je me suis rendu à l’évidence que les arbres étaient infiniment plus vivants et sensibles que tout ce qui est communément admis et enseigné. Je dois dire que c’est une remise en question qui m’a atteint comme si j’avais reçu la foudre. Une telle expérience amène vraiment à l’humilité, au respect, à l’ouverture et à une profonde remise en question de notre rapport à Tout Ce Qui Vit.
– Certainement. C’est vrai que c’est énorme ce que vous partagez là… !
– Je pense qu’il s’agit ni plus ni moins de l’expérience qui m’a le plus surpris, même si j’en ai vécu beaucoup et d’assez belles d’ailleurs. Celle-ci était tellement inattendue et surprenante…
– Je peux le comprendre…
– Je me rappelle avoir appelé peu de temps après un ami au téléphoné pour partager cela avec lui. C’était tellement fort que je ne voulais pas le garder pour moi seul.
– Et aujourd’hui vous faites un pas de plus. C’est bien. Vous savez que quand j’y pense, cet aspect des filaments qui vous relient aux arbres me fait penser à un film assez connu que j’ai trouvé intéressant pour ma part : Avatar. Quand les êtres bleus communient avec les arbres en se reliant à eux par des sortes de filaments tentaculaires.
– Mais oui. Je ne voulais pas aborder moi-même cet aspect des choses, mais puisque vous le faites, je confirme que c’est bien d’une manière très comparable que j’ai vécu ces belles expériences. Cette notion est très bien restituée dans le film. Je pense qu’il s’agit ici de quelque chose de très réel mais encore largement méconnu de la plupart des gens. Pourtant cela existe…
– Fort probable, oui. Et donc, vous avez aussi vécu une dernière expérience… ?
– Oui. C’était au tout début de l’été 2017. L’une des dernières fois où j’ai marché avant la chaleur, moment où je m’arrête le temps que la météo redevienne plus clémente. Je venais de pratiquer une courte mais rude ascension d’un chemin très pentu au milieu des pins. On prenait de nombreux mètres dans les jambes en peu de temps sur un terrain assez incliné, assez pentu.
– D’accord.
– Arrivé en haut, j’ai donc été content de me reposer un peu pour reprendre mon souffle, mais aussi pour passer un petit moment au milieu des arbres. C’était une forêt de pins à cet endroit-là. Je me suis appuyé contre le premier arbre un peu massif et bien droit que j’ai trouvé, et j’ai cherché à établir un contact avec l’esprit de l’endroit, l’esprit de la forêt. Depuis près d’un an, je venais de prendre l’habitude de commencer un contact avec l’arbre, puis ses voisins, puis le lieu, puis la forêt environnante, puis toutes les forêts de
– D’accord. Une volonté de Reliance, donc, de communion.
– Exactement. J’ai alors senti brièvement l’état d’être des arbres environnants, puis je me suis senti relié, cela va sembler incroyable à entendre, mais je suis pleinement senti relié à
– C’est vrai, je me souviens que l’année 2017 avait été très dure sur cet aspect des choses.
– Mais ce qu’il faut vraiment retenir, c’est que les Arbres savaient ce qui allait se passer, et que la vie continuerait au-delà de ces difficiles événements. C’est vraiment ce que j’ai retenu de ce qui m’a été transmis et que les mots ne peuvent pas totalement transmettre, restituer. Il y a avait une force, une sérénité, une impassibilité et une conscience élargie du temps qui émanait de cette Communauté planétaire des Arbres. Cela restera pour moi une initiation majeure qui me marquera longtemps.
– Je le comprends. Il faut savoir retenir l’espérance au-delà de l’aspect tragique des événements. C’est la même chose avec la mort des êtres chers qui ne meurent pas vraiment mais nous font vivre le temps d’une séparation provisoire.
– Exactement.
– C’est vrai que les médiums ont l’avantage de voir les 2 côtés de la vie, un peu de l’autre côté du voile, aussi.
– Hé oui. Je pense qu’il est bon de conclure sur cet aspect positif des choses qui correspond à une réalité très profonde.
– Absolument. Je vous remercie d’avoir partagé ces troublantes expériences avec nous, car je crois qu’elles contenaient aussi de beaux messages pour qui saura ne pas les perdre en route.
– Merci à vous de l’avoir souligné pour moi.
– Au plaisir d’un prochain entretien…
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Publié dans Hubert HERRICK
« Mon approche de la communication animale
Voici une collection de messages transcendants que j’aime bien… »
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