Vos frères aliens étaient comme des êtres humains
Voilà pourquoi vous les appelez « anges déchus »
Voici que la pensée sage et fourmillante de joie d’un alien familier surgit. La voix télépathique qui s’exprime est celle de mon ami, le professeur Zolmirel.
Il émet des pensées très rapides, sous forme d’idées et d’images mentales abstraites et je songe que ce flux va à une vitesse bien élevée pour mon cerveau humain, qui peine à transcrire toutes ces pensées en mots assez rapidement. Néanmoins, après plusieurs relectures, pour compléter les idées manquantes, je songe que tout ceci est suffisamment détaillé.
Je tiens à préciser que ce message est arrivé à la fin du mois de Juin, je ne le publie que maintenant, car il m’a semblé opportun de le faire.
« Nous souhaitons te parler Aurélia, il y a encore des choses qui vont se passer sur ton monde, nous savons que cela te peine et que des choses telles que celles-ci, tu aimerais ne plus en voir la moindre dans l’actualité.
Mais c’est ainsi, ces choses seront moins tristes, moins dommageables que prévues, que celles qui ont déjà eu lieu, vous pouvez même y mettre un terme tout de suite, rien qu’en le souhaitant. L’éveil de la Lumière amène à chaque fois par réaction, un peu plus de cette ombre voilée à sortir de sa cachette.
C’est le professeur Zolmirel qui parle, je soigne les herbes et les arbres de ton monde.
Je le fais avec joie, avec patience. C’est pourquoi je suis fait, alors je suis heureux d’accomplir mon devoir.
Il est certain que les végétaux de ton monde ont besoin de soins.
L’homme de la Terre ne réalise pas tout le mal qu’il a répandu sur la strate végétale, cette pollution présente dans les feuilles est invisible. Les arbres et les plantes vertes transcendent et fixent beaucoup de polluants. C’est aussi pour cela qu’ils sont faits.
C’est désormais une strate mourante dans les villes, dans les zones préservées, cette strate s’épanouit quand même, mais est affectée par son lot de polluants, qu’elle perçoit du sol, de l’air.
Les végétaux en ont vu d’autres, il s’agit d’une forme de vie extrêmement résistante, extrêmement bien conçue. Même si elle s’éteint en certaines régions, d’autres zones vertes peuvent permettre un reboisement rapide.
A présent, pour continuer à persister, ils ont besoin de tout votre Amour.
Allez en ville, à la campagne, et faites attention au plus petit brin d’herbe. Ayez des pensées reconnaissantes pour l’arbre le plus tordu, car même lui, fait de votre monde un monde encore respirable.
Les végétaux vous rendront bien ce petit service, ils vous le rendront au centuple.
La force de vie de Dame Nature s’est accentuée dans les zones où jaillissent des sources, qui ont tout purifié. Nous pourrions dire que ces zones sont quasiment vierges, tant l’énergie y est puissante.
Nous nous tenons en ces lieux, comme beaucoup d’êtres subtils.
Vous les reconnaitrez aisément. Nous sommes heureux de voir combien vous avez à cœur de soigner votre planète, combien ce but éclaire vos vies.
Il permet aux arbres de continuer à résister. Ces derniers absorbent directement la radiance du soleil par cette opération que vous nommez la photosynthèse, mais qui est en réalité beaucoup plus complexe, puisqu’il y a conversion directe d’électrons libres en un flux nourricier.
Vos maîtres spirituels nomment ce flux le chi ou le prana. Nous pouvons dire avec certitude qu’il existe bel et bien.
Que ce prana fortifie tout ce qui vit et que sans lui, bien des espèces seraient éteintes. Cet apport direct d’énergie, qui se fait par le souffle, est essentiel.
Vous avez l’illusion que votre respiration d’oxygène et votre nutrition sont les seuls flux qui vous suffisent à rester en bonne santé.
Mais il y en a tellement d’autres ! Les fins réseaux d’énergie qui entourent votre corps sont si complexes qu’ils ne suffiraient pas à remplir une bibliothèque !
Vous êtes des maillages essentiels de l’univers, et vous avez la même taille immense !
Émerveillez-vous de cette grandeur que vous redécouvrez peu à peu !
Elle est là et attend votre envie profonde pour se manifester clairement.
L‘homme abrite en son sein des milliers, des millions de milliards d’univers, avec à leur tour des galaxies, puis des planètes.
Essayez de vous représenter ce que cela signifie. Essayez de vous représenter toute la vie qui tient dans le creux de votre main (man !).
C’est pourquoi, mon peuple a suivi le chemin de la paix, et ce chemin lui a été inspiré par le règne végétal.
Les botanistes sont très nombreux chez moi. Comme je suis très vieux et que j’ai beaucoup voyagé, il me tient à cœur de vous dire combien votre planète est une belle planète.
Un monde coloré, fourmillant de vie, de forêts humides, de steppes, de prairies multicolores, de roselières et de petits paradis d’altitude !
Songez-y songez seulement à la chance qui est la vôtre d’habiter un tel monde !
Certaines planètes que j’ai pu voir sont des mondes désolés, des plaines sépulcrales, et leurs habitants ont régressé, car ils ont fait mauvais usage de l’énergie.
Leur corps a rapetissé, leurs besoins énergétiques sont devenus quasi nuls, pour survivre à l’atmosphère raréfiée.
Oui, ils ont pris une allure inquiétante, qui ferait frémir plus d’un, vous les appelez aliens ou anges déchus.
Ces petits êtres, pour certains, ont su malgré tout trouver la lumière.
Leurs yeux, pour une partie de ces aliens, sont emplis de la même foi, de la même espérance que des enfants. Ils vous aiment et veulent vous venir en aide pour certains d’entre eux, qui se sont rebellés contre leurs dirigeants.
Les autres ne vous comprennent pas, ils ne comprennent pas comment les Terriens peuvent saccager les écosystèmes, afin de créer des compagnies pétrolières éphémères, eux qui ont perdu toute vie à la surface de leur planète. Cette vie précieuse, ils ont mis un temps infini pour la recréer en laboratoire, mais ce faisant, ils ont fait des découvertes prodigieuses.
Ils ont découvert que l’humanité était la clé qui leur manquait. Cette clé, qui est en vous Chers Enfants, permet d’ouvrir les portes de la connaissance du cœur.
Pour les aliens, la gamme des émotions, de l’imaginaire, est moins riche que pour l’espèce humaine. C’est pourquoi, nous sommes très joyeux de ressentir vos émotions, cela nous met dans un état d’euphorie assez merveilleux. Nos deux espèces sont parfaitement complémentaires.
Vos frères aliens étaient un peu semblables à des êtres humains autrefois, voilà pourquoi vous les appelez « anges déchus ».
Une vision agréable surgit.
On me montre une surface planétaire humide très paisible, garnie de végétation. C’est le soir, il est très tard, mais le ciel est d’un beau bleu céruléen, comme si le soleil venait tout juste de se coucher.
Des êtres se trouvent sur cette planète, il y a très longtemps, cela se compte en millions de nos années, chose qui ne veut pas dire grand chose, me précise t-on.
La scène montre un être très mince aux cheveux légers blonds argent, assez clairsemés, qui forment comme un duvet sur sa tête. L’être possède une allure paisible et curieuse. Il est de nature bienveillante. Il ressemble à un homme longiligne, au teint plus clair et au visage plus allongé.
Survient un cataclysme effroyable qui décime la vie de la planète et ravage son atmosphère. Je passe sur l’ampleur du désastre.
Les habitants, affreusement blessés pour certains, parviennent à se réfugier dans des grottes, ils ont réussi à préserver une partie de leur savoir. Les conditions de survie sont épouvantables.
Ils n’ont comme seule distraction que de tenter de se souvenir de leur passé brillant, d’où ils venaient. Ils dessinent les créatures qui peuplaient leur monde défunt sur les murs. Peu à peu, ils forment des groupes bien soudés qui communiquent entre eux par voie télépathique, les scientifiques prennent la tête de leur organisation. Ils se mettent à creuser dans le sol, où ils trouvent abri et nourriture. Ils se nourrissent d’algues, me précise t-on, et d’une forme de vie minérale présente dans l’eau.
Les petits êtres voient leur allure changer à cause des radiations. Leurs besoins nutritifs disparaissent, ils descendent encore plus profondément, de génération en génération, leurs yeux grossissent. Ils sont immensément vieux pour certains, mais ne parviennent plus à procréer. Ils n’ont presque plus besoin de dormir, ou de respirer.
Qu’importe, puisque leur science parvient à réparer les tissus endommagés et à engendrer des descendants par clonage.
Leur corps se transforme, lui aussi.
Peu à peu, ils parviennent même à dissocier l’essence spirituelle, la conscience, du corps. Ils réinstallent cette conscience, cette empreinte, dans d’autres corps, au mépris des lois cosmiques de la vie.
Ils créent des répliques à leur image, semi-vivantes, aux corps de plus en plus résistants. Ces êtres sont très travailleurs et dociles. Ils ne ressentent ni la fatigue, intellectuelle ou physique, ni la faim, ni la souffrance, ni aucun besoin d’aucune sorte. Les êtres travaillent vite et bien, seulement désireux de servir la science, ce qu’ils font de manière efficace.
Les scientifiques s’interrogent. Auraient-ils omis un élément ?
Peut-être ont-ils perdu quelque chose en créant ces serviteurs ?
Puis un nombre d’années incalculable s’écoule, la vie souterraine se déroule sur la planète Loma.
Il ne reste presque plus d’êtres originels.
Ceux là seuls, dirigent des équipes de petits scientifiques soumis. Les êtres forment une entité collective, immense, très efficace, astucieuse et immensément intelligente.
Cela me donne l’impression d’une ruche bourdonnante. Je ressens cette entité, elle est joyeuse et épanouie, d’une certaine manière, elle ne ressent pas la joie, mais la satisfaction. Ses possessions, sa connaissance est immense, effectivement. Elle est aussi avide et un peu effrayante. Elle ne connaît pas de limites.
Les êtres sont efficaces, très habiles pour ce qui est de la génétique, de la biologie, science dans laquelle ils excellent, mais ils ne veulent point se mêler aux autres espèces dont ils ignorent en vérité l’existence.
Peu à peu, ils remontent à la surface de leur planète et contemplent le ciel.
Ce ciel a bien changé, une partie de l’atmosphère est demeurée en place et ils peuvent la respirer, cela est très agréable. Hélas, leur étoile est mourante, cette étoile se nomme Kolménide.
Les êtres construisent des vaisseaux stellaires et partent explorer de nouveaux mondes, ils reviennent heureux de cette nouvelle moisson de connaissances.
Je ressens une joie très intellectuelle. Au final, les êtres ne sont pas mauvais, mais ils manipulent la vie sans état d’âme, car ils ne la comprennent pas.
Et puis, je vois que cela change peu à peu. Leurs dirigeants se questionnent ils veulent recréer un hybride, un être qui leur permette d’avoir de nouveau des descendants, et aussi, chose qu’ils ne veulent pas s’avouer, des émotions. Car les émotions sont une manière d’acquérir une connaissance parfaite, ils réalisent qu’ils sont passés à côté de nombreuses opportunités d’évolution. Hélas, toutes les expériences effectuées ont échoué, seul le clonage leur permet d’avoir des enfants.
Ils découvrent ensuite une petite planète, la Terre (en 1947 ? ou bien avant, en 1887, par remontée des lignes temporelles), mais celle-ci est fermée sur les contacts avec les hors-monde.
Ceux qui contrôlent la planète ne veulent pas de leur ingérence, alors les êtres de Loma, (Loma veut dire planète seule, sans Soleil,) décident quand bien même de se procurer du matériel génétique. Ils font des incursions en arrière, dans l’espace-temps, mais les échantillons d’ADN ne sont pas hybridables avec leur espèce trop involuée.
Et ce qu’ils découvrent est fascinant, les êtres humains sont l’espèce parfaite, qui leur permettrait de reconstituer leur ADN originel. Hélas, eux sont devenus des déviants.
Ils tentent des expériences, puis les multiplient, ces expériences sont très cruelles et impliquent l’usage notamment de bovins. Je n’en vois pas plus, tout cela est sassez éprouvant.
Finalement, ils réussissent à créer des hybrides, des petits clones. Ces jeunes clones sont absolument charmants et leur sphère émotionnelle est effectivement très pure. En grandissant, ils s’ouvrent à la Lumière et commencent à résister aux ordres de leurs supérieurs. Ils préfèrent être tués, plutôt que de perpétrer des actes cruels en faisant des expériences génétiques. Beaucoup paient de leur vie une telle audace. Mais d’autres sont écoutés, ils sont craints, on les enferme en les abandonnant sur Terre.
Les supérieurs des petits êtres, affaiblis par la radiance, sont défaits, repoussés, on démantèle leurs installations à chaque fois, les forces de la Lumière les repoussent en recueillant les jeunes clones.
Ceux qui contrôlent la Terre au plan politique rompent leur alliance avec les généticiens. Ils leur avaient proposé alors du matériel génétique de premier choix en l’échange de technologies. Cet échange ne fonctionne plus dans les deux sens.
Les accords ne fonctionnent plus.
Les petits êtres gris s’en retournent vers leur étole mourante Kolménide, tristement, certains restent.
Je vois un petit alien.
« Je suis un petit gris » me dit-il « Regarde moi. Ressens-tu de la peur ? »
Je vois l’alien, il ressemble à un enfant de sept ans, il est plutôt mignon, dois-je admettre, sa peau nacrée et grise brille par endroits comme si des taches de lumière surgissaient, ces taches sont éblouissantes. Le petit être possède un visage triangulaire aux traits très délicats, des yeux noirs un peu proéminents très brillants et très bons aussi. Son corps est extraordinairement menu, avec de longs membres allongés. Le torse est plus court que pour un être humain, ses jambes sont très graciles. Il est un peu timide. Il porte un petit pull bleu, et un pantalon nacré très serré je crois, qui ressemble à un collant.
« J’ai pris la radiance de plein fouet » me dit-il, « Et regarde le changement ! Vois le changement opérer, à moi aussi, ce changement fait très peur, mais on m’a dit qu’il me serait très agréable. »
Le petit être est entouré de deux présences lumineuses très grandes. Les très hautes silhouettes le dépassent d’au moins deux ou trois fois. Je vois simplement des silhouettes lumineuses, entourant des visages, ceux d’un homme et d’une femme. Les grands êtres sont très calmes, ils accompagnent le petit alien.
« Nous sommes en toi », lui disent-ils, « et nous t’aiderons.
Le moment est venu de changer, ce moment arrive un jour pour toutes les créatures, il est à présent venu pour toi. »
On voit la peau du petit être se fendiller et se craqueler un peu plus, d’autres taches de lumière apparaissent, elles font comme un creux dans sa peau. Il les gratte, ce n’est pas très agréable, mais non douloureux.
« C’est ce qui est en toi, » lui expliquent-ils en souriant, « Tu es un enfant de la Lumière. »
Alors le petit être apeuré reprend confiance.
« Elle me fait très peur, la radiance, mais il est heureux que cela s’en vienne. J’ai tellement honte de ce que les miens ont fait sur vous. Et c’est un repentir sincère. »
Je vois quelques larmes pointer dans les yeux du petit reptile, cela me touche. Je suis un peu étonnée, car je pensais que ces êtres ne pouvaient pas pleurer.
« Nous pouvons réparer cela, tout le mal qui a été fait, seulement si les tiens nous donnent leur pardon. Autrement, nous avons tellement honte, nous nous en retournerons.
Il existe des gènes, les gènes sont bien là, ils permettent de corriger nos deux espèces. Nous avons agi en involuant votre génome, et cela a eu des effets néfastes sur le nôtre, par rétroaction, que nous le voulions ou non. Car chacun paie un jour de ses méfaits, s’il emploie son génie pour corrompre la perfection de la vie.
Ah, si vous pouviez nous pardonner. Ces gènes sont en vous, ceux qui permettront aux miens de recouvrer leur grandeur passée. Mais c’est à vous de nous les offrir librement, seulement si vous le souhaitez. »
Le petit être se tait, il lui a fallu un immense courage pour oser prononcer ces paroles.
Bien sûr, je songe qu’il peut s’agir d’une ruse, mais je sens qu’il n’en est rien. Il tombe à genoux, car la radiance l’affaiblit considérablement. On dirait qu’il fond lentement de l’intérieur. Ce processus est un processus dangereux pour leur espèce, mais possible. Les aliens qui ont choisi de s’éclairer, doivent le faire graduellement, car il s’agit de très hautes énergies.
Ils ne doivent pas céder à la peur d’être libérés. Comme il s’agit d’entités collectives, il leur est très difficile d’envisager une existence seuls.
J’ai déjà entrevu des aliens petits gris qui ont achevé ce processus de renaissance, cela a libéré les êtres lumineux présents à l’intérieur de leur enveloppe physique. C’était un très beau spectacle, car leur peau a pris une teinte argentée tout à fait magnifique.
Le petit être s’éloigne et je vois qu’on prend soin de lui. Il s’étend sur un lit confortable et on lui fait prendre un reconstituant.
Je ne sais ce qu’il a voulu dire lorsqu’il parlait d’offrir librement l’ADN de l’humanité aux aliens. S’agit-il de mêler l'ADN ? S’agit-il de collaborations scientifiques nouvelles ? Ou d’une simple entente cordiale entre deux espèces, qui ont tant besoin l’une de l’autre.
Je vois de nouveau le petit alien. Il a l’air d’aller beaucoup mieux. Cette fois, il est entouré de deux hommes et d’une femme de la Terre. Ce sont des êtres humains comme nous. Ils prennent ses mains dans les leurs et une très belle énergie de guérison jaillit.
Le petit alien sourit. Ses yeux débordent de joie, il est empli de bonté.
« Cela se fera de la manière dont vous souhaitez, si vous acceptez cette communion elle ne déguise nulle ruse ou nulle rouerie de notre part. »
L’homme qui se tient à sa gauche est brun et jeune, ses yeux verts sont avenants.
Cela est possible, il suffit juste d’y croire. Les aliens sont une autre part d’humanité que nous avons perdue au fil des âges, en la laissant sur une planète orpheline. L’amour peut nous guérir et guérir ces créatures en même temps.
Il émane d’eux tellement de joie, de bonté, que je m’en retourne le cœur serein.
Le professeur Zolmirel reprend.
« Je suis là pour aider les frontières entre plusieurs mondes à se dissoudre. De cette dissolution peut venir le meilleur. Les aliens et les êtres humains, ne sont que la polarité opposée du même être. Lorsque la refusion opèrera, tout le monde sera instantanément propulsé à une autre échelle de l’existence, de la connaissance.
Pour les aliens, la connaissance prime sur l’existence, pour les vôtres, c’est un peu l’inverse, vous aimez vous faire plaisir. Les Terriens apprécient d’avoir le meilleur compagnon, la meilleure compagne, la famille, les amis idéaux, habiter un logis confortable et s’offrir le véhicule le plus agréable. A côté de cela, une fois tout ceci accompli, n’avez vous pas oublié quelque chose ?
Votre soif de connaissances s’en est allée, pour la plupart d’entre vous. Ce sont ceux qui ont conservé cette soif, discipliné leurs passions, pourrions-nous dire, qui tiennent les rênes de votre monde. Alors que tant d’autres de vos citoyens, sont dépendants de l’idée, que l’on a écrite pour eux, du bonheur.
Heureusement, cela est en train de changer maintenant. Nous sommes joyeux de songer que vous vous libérez de cette société de consommation et des exigences imposées par les normes sociales.
Nous voyons la relation avec votre Gaïa renaitre et se cristalliser dans vos cœurs. Cette reconquête de votre espace intérieur opère un retournement de situation imprévu de vos gouvernants, damant le pion aux meilleures prédictions.
Quelle joie que tout cela arrive !
Nous vous le redisons allègrement, nous sommes vos amis, et d’autres amis attendent aussi un peu de votre Lumière, si vous acceptez de renouer le lien.
Très heureux d’avoir pu avoir cette longue conversation, et merci à chaque personne qui lira ce message,
Professeur Zolmirel,
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