L’exploration des mondes à naître

Publié le par Aurélia LEDOUX

L’exploration des mondes à naître

Message d’un alien botaniste

Pour ceux qui ne le connaitraient pas, voici un message du professeur Zolmirel, un alien d’âge vénérable, qui resplendit de joie.

Ce message est accompagné d’une vision, et je dois dire que c’est la première fois que tout arrive de manière si nette.

J’entends une petite voix amusée, la sienne je suppose. Il me dit “Nous aurions tant de choses à nous raconter. Nous sommes tout près, cela viendra.”

Le professeur parle du rapprochement progressif de la Terre avec les autres mondes habités.

Voici que sa voix reprend, je n'ai changé que très peu de mots, tout est fort net.

« Cela viendra aussi plus tôt que tu ne le penses, que vous ne le pensez tous. Les distances intergalactiques ne sont rien. Elles sont seulement dans vos esprits. Nous, cela fait bien longtemps que nous avons dépassé ces distances.

Elles ne nous sont pas inculquées dès la naissance.

L’impossible restreint l’horizon, le possible l’embrasse. Il embrasse tout, nous embrassons toute la création d’un seul regard. Même si à vos yeux, nous sommes de petits aliens.

Certains des nôtres ont le teint crémeux, plus ou moins bleuté, plus ou moins ocre ou vert pâle.

Les êtres de mon monde peuvent revêtir diverses apparences. Il existe de grands aliens au teint clair, très agréables et élégants, d’environ deux mètres. Notre espèce est plus petite, plus proche du sol aussi, des plantes sur lesquelles nous aimons nous pencher. Cela nous convient très bien.

Nous adorons les plantes, nous pouvons ressentir ce qu’elles ressentent, sentir le vent caresser leurs feuilles, les oiseaux, les petits êtres venir s’y percher. Chez nous il existe bien des formes de vie proches des crustacés qui ressemblent à vos insectes, il existe aussi ce qui ressemble à des petits lézards, mais avec un pelage.

Nous sommes en symbiose avec toutes ces créatures. Nous les comprenons, nous les aidons lorsqu’elles souffrent, nous les soignons aussi parfois.

Cela se fait naturellement et simplement, nous entendons leurs pensées, et nous sommes toujours ravis de pouvoir le faire. Sur notre monde chaque animal est précieux. Nous possédons une technique simple de régénération cellulaire, cela permet de guérir tous les êtres."

Je vois une planète avec un foisonnement de verdure extraordinaire et des arbres d’une taille immense. Le sol est couvert de plantes multicolores, ce spectacle est magnifique. C’est un monde très humide, et en même temps très pur. Les aliens vivent dans les arbres, dans de petites maisons accueillantes, lesquelles se trouvent aussi au niveau du sol.

Il existe des villes également, mais de petite taille, qui sont fort en harmonie avec les paysages. Je perçois des sortes d’habitats flottants au-dessus du sol, comme des plate-formes. Je ne sais pas comment elles parviennent à tenir. Les aliens possèdent tout le confort et ne manquent de rien. Dans leurs villes, on trouve des tours élancées avec des aires d’envol, des sortes de centres destinés à accueillir d’autres peuples stellaires. Ils sont très joyeux dans leur manière de vivre.

"Nous pratiquons aussi beaucoup d’études sur la vie, sur la manière dont elle a essaimé sur les autres mondes. Votre planète est très particulière car elle comprend un nombre immense d’espèces végétales et animales. Cette vie est représentée par des peuplements très variés de créatures, et un foisonnement d’espèces, de règnes.

La vie est partout, dans les sables, les glaces, les marais, au plus profond de vos océans.

Cela constitue autant de feuillets, si vous préférez, de dimensions, là où la présence de l’homme ne peut pas aller sans dommages. Cette vie prospère donc sans danger.

Et cela est bien ainsi. Ces écrins de vie sont là pour vous montrer qu’il n‘existe pas de limite.

La limite se tient en vos esprits. Il existe aussi beaucoup de formes de vie conscientes et lumineuses qui flottent dans l’espace. Certaines ont une taille microscopique, d’autres sont immenses. Il s’agit d’êtres qui croisent à proximité des étoiles. Ces consciences sont très anciennes, elles effectuent des voyages fabuleux, et permettent aussi de veiller au bien être des étoiles, des planètes, des astéroïdes.

Ce sont des consciences qui communient avec les corps stellaires, directement par la pensée.

Voilà pourquoi le voyage spatial est une découverte du cosmos, mais aussi de soi.

Car il faut plonger en soi-même pour être autorisé à voguer aussi loin. Cela se fait en accord avec ces présences subtiles, cela se fait sans déranger ces êtres à la sagesse immense. Nous sommes humbles dans notre quête, et nos vaisseaux silencieux, ne laissent pas de traces.

Lorsque la translation dimensionnelle intervient, nous nous immergeons au delà de la troisième coordonnée. Au delà de la gravité. La gravité n’est pas un mur, c’est un ensemble de facteurs que nous parvenons à transcender.

Sitôt que nous sommes en mesure de faire cela, nos navigateurs ouvrent de nouvelles routes et partent recueillir des données sur des mondes lointains.

Nous cherchons souvent des mondes au stade N°2. C’est à dire lorsque l’atmosphère et la croûte différenciée ont refroidi, mais que la vie végétale s’y constitue à peine.

C’est très intéressant, très émouvant à observer.

Nous demandons l’autorisation d’y venir. Il faut toujours quêter cette autorisation. Les mondes en devenir sont fragiles au début. Nous ne voulons rien déranger.

Nous descendons avec beaucoup de précautions, sans troubler ce qui est en dormance et va bientôt jaillir pour la première fois. Nous atterrissons silencieusement, nous effectuons nos récoltes de pollens et de spores."

Il me montre un sol désertique, ocre, baigné d’une lumière voilée. Il existe un ciel gris chargé de nuages épais, et de l’autre côté, sur la portion droite, le ciel est plus dégagé, un soleil jaune éclaire le petit monde. Le ciel est jaune très pâle. Le sol est un peu humide, au loin, on aperçoit des montagnes assez rocailleuses de forme plane. On voit également une faible vie biominérale et végétale qui est très récente.

Je vois le vaisseau se poser avec une extrême douceur. Il est bleuté et arrondi. Il comporte quatre pieds et ressemble un peu à un insecte à l'allure de coléoptère. Les petits botanistes sont ravis. Ils gambadent sur le sol craquelé et effectuent un certain nombre de photos, de sondages pour apprécier la composition géologique des terrains. Je vois plusieurs espèces d’aliens. Certains sont très jeunes et fort émus de se trouver là. D’autres sont bien plus âgés. Je vois des êtres graciles tout à fait charmants.

Puis ils se tiennent face au soleil de la petite planète et effectuent une sorte de prière collective, très joyeuse, ce qui y ressemble le plus.

Ils sont très joyeux, plein d’amour pour ce monde à naître, très purs également.

Ils communient avec l’étoile de la planète, c’est très fort. Je sens une très belle énergie, cela me fait venir les larmes aux yeux tellement c’est profond.

Un beau rai de lumière éclaire la plaine et révèle des petites touffes d’herbe, quelques fleurs, un peu comme du muguet. Il y a beaucoup d‘extrémophiles, des organismes biominéraux, qui ressemblent à des rochers, à des concrétions.

Les aliens se regroupent et chantent, mais c’est plus une vibration télépathique qu’un chant, cela s’étend très loin. Ce chant fait tout le tour de la planète, ils sont emplis d’amour.

Ils dessinent ensuite des signes sur le sable humide. Avec le temps ces signes s’effaceront bien sûr, mais ils ont du sens pour la planète.

Leur énergie agit à différents niveaux en canalisant des flux cosmiques intenses. Il s’agit d’une énergie verticale, cette énergie doit aider la future végétation à croître, à jaillir.

Les aliens viennent à la suite d’autres créatures, qui ont agi différemment pour enraciner la vie, chacun a un pouvoir particulier et est appelé à agir.

Ils se séparent les uns des autres et remballent leur matériel. Ils s’apprêtent à partir. Le vent se lève.

Le petit vaisseau est un peu bousculé par les vents. Il remonte dans les hautes couches de l’atmosphère.

Je vois toujours le sol brun sombre de la planète, il comporte de petites empreintes laissées par les aliens et aussi les traces des patins de leur vaisseau. Les marques sont très particulières, il y a plein de petits points. Cela a aussi une raison. C’est le seul signe de leur passage.

Il se met à pleuvoir, il y a quelque chose dans l’eau, une énergie très vive. Le ruissellement efface les fines empreintes des petits botanistes.

Quelques jours passent, et je vois la scène comme en accéléré, des dizaines de plantes jaillissent un peu partout. Les plantes poussent un peu en désordre et ont du mal à s’enraciner, le sol est meuble. Cela ressemble bien sûr à des fleurs des champs, ou à de la « mauvaise herbe », mais c’est un exploit. La vie commence à coloniser le petit monde sableux.

Les aliens ont réussi leur mission, ils voient eux aussi, ce formidable déploiement végétal, directement par l’esprit. L’essentiel est fait, ils pourront revenir dans plusieurs générations. Les créateurs de mondes, ou en tout cas les êtres qui ont implanté la vie en premier sur la planète, leur envoient des chaleureux remerciements, une très belle énergie de joie et d’amour. Le petit vaisseau est emporté dans l’espace par un courant d’énergie multicolore fort agréable. Les botanistes rentrent chez eux ravis et vraiment heureux.

"C’est ce que nous faisons," me dit le professeur Zolmirel. "Nous sommes faits pour cela et nous aimons le faire. "

Nous canalisons de hautes énergies qui viennent renforcer la vie des plantes. Ensuite d’autres êtres vont venir à leur tour pour y implanter de la vie animale, ainsi que des petits êtres éthérés, qui vont prendre soin des arbres et des plantes.

En l’absence de ces petits êtres, c’est nous autres, botanistes qui préludons la naissance de la flore.

Si ce spectacle peut paraître étonnant, il en est pourtant bien ainsi. Trouver de nouvelles planètes pour aider la vie à y prospérer ou pour l’étudier fait partie de nos tâches principales.

C’est un travail exaltant.

Je suis certain qu’il vous plairait bien d’accomplir ce travail.

Vous pouvez déjà le faire à votre niveau, en envoyant de bonnes pensées à la végétation de votre monde.

Ceux qui ont l’habitude de jardiner voient certainement de quoi je parle, lorsque j’évoque le bien être que la végétation apporte au quotidien.

Les plantes sont parfaitement à même d’échanger avec vous au niveau énergétique. C’est bien plus qu’il n’y paraît, que semer, ou planter et récolter.

Essayez de vous concentrer vers une plante que vous affectionnez, regardez la et envoyez de l’énergie joyeuse vers elle, vous serez surpris d’en recevoir en retour.

Nous sommes de tout cœur avec vous et heureux de cette communion qui s’installe entre nos deux mondes.

Nous contemplons votre Terre et voyons de très belles choses advenir, de plus en plus. Les hommes prennent conscience de la place qui est la leur au sein de la nature, et cela est très heureux.

Nous vous saluons avec nos meilleures pensées d’Amour et de Joie,"

Professeur Zolmirel

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

P.S.: L'image superbe, qui comporte une très belle lumière dorée est tirée du site suivant, consacré aux voyages, que je vous invite à consulter :

http://rejoignez-nous.en-escale.com/jordanie/wadi-rum/excursion-dans-le-desert-du-wadi-rum_p10652.html

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