Une goutte d’eau dans un océan,
La Terre du futur, une vision sur l’aqueduc transsaharien,
Cette vision revient de plus en plus souvent et il m’importe d’en parler.
Il s’agit bien sûr en premier lieu de rendre hommage aux peuples des « pays de la soif », qui doivent faire preuve d’un grand courage pour survivre. Nous autres, occidentaux, ne savons pas de quoi il en retourne. Nous n’avons qu’à ouvrir le robinet pour que l’eau coule, pour eux, il faut parfois creuser le sol à plus de 20 mètres de profondeur afin de trouver de l’eau.
Voici 6000 ans, puis de nouveau vers 4900 ans, le Sahara était une zone boisée accueillante, c’était l’époque du « Sahara vert » dont parlent les paléontologues.
Les causes de la venue des déserts à travers le monde ne sont pas toujours bien connues. Il se pourrait que le passé de la Terre soit tout autre que ce qui est accrédité par l’histoire officielle.
Il se pourrait, par exemple, que des guerres aient eu lieu, rayant de la carte des régions entières.
Je n’affirme point cela gratuitement, mais me réfère aux zones de sable vert et de roches vitrifiées présentes en sous-sol dans certaines régions, notamment, près de la Mer Morte, dans la vallée de l’Indus et en Ecosse.
Il faut une formidable chaleur pour générer pareille vitrification, pour que les zones cristallines fondent et forment une pâte. Cette température correspond à celle de la fusion du verre, soit de 1300 à 1700 °C.
Je vous laisse imaginer ce qui peut produire de si effroyables températures dans des régions aussi vastes, lesquelles ne sauraient être causées par un incendie.
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, voici un article troublant qui parle des anciens textes hindous et de problèmes causés par une radioactivité fossile en Inde, empêchant de construire des immeubles modernes à Rajasthan, à 10 miles à l’ouest de Jodhpur.
La région aurait été fermée par les autorités indiennes pour des raisons sanitaires.
J’en viens à la véritable raison qui m’encourage à écrire cet article.
Cela n’a que trop duré. L’histoire ne doit point se répéter et il est grand temps que les guerres liées à la gestion de l’énergie et des gisements disparaissent. Et cela surtout lorsque de providentiels djihadistes se mettent à pousser à côté des puits de pétrole !
Il existe de récentes découvertes, notamment celles liées à l’énergie libre, une énergie gratuite et disponible pour tous.
Ces découvertes pourraient changer la face du monde.
Cette énergie est celle de demain. Elle permettra notamment de mettre fin à l’exploitation du nucléaire au niveau des centrales, mais aussi de l’armement.
En vérité, cette énergie existe réellement, elle est employée depuis de nombreuses années par l’armée, par les laboratoires de recherches, mais aussi par certains privilégiés.
C’est en tout cas ce qu’affirme ce physicien sur le lien suivant (s’il n’a pas disparu) :
Il existerait donc une mainmise des fabriquants d’armement lourd, en particulier des avions de guerre, dont je ne citerai pas les noms bien connus, sur cette énergie et ses brevets.
L’avion mythique baptisé Aurora existerait bien, ainsi que l’affirme l’astrophysicien Jean Pierre Petit, dans la vidéo visible sur ce lien :
Cet avion serait en mesure de voler à Mach 5, mais aussi d’aller effectuer des missions spatiales dans l’espace. Il utiliserait pour cela une sorte de bouclier magnétique protecteur, destiné à repousser le champ de radiations des ceintures de Van Allen.
Donc, grâce à un générateur à énergie libre délivrant des dizaines de Térawatts, ce bouclier pourrait fonctionner.
Ce générateur emploierait entre autres une technologie fonctionnant à partir d’eau salée.
La technologie permettant de dessaler l’eau de mer serait au point depuis belle lurette, mais serait tenue secrète, pour des raisons « financières et stratégiques »…
Je n’en dirai pas plus, et j’invite toute personne désireuse d’approfondir de telles assertions à creuser plus avant les sources.
Je ne fais que reprendre modestement tout ce qui figure sur d’autres sites.
Pour les personnes qui ne croiraient pas à tout cela, je leur dis simplement qu’elles sont libres de croire ou de ne pas croire. C’est au lecteur de choisir en se forgeant sa propre idée.
Je reviens donc à l’usage qui est donc fait par certains de l’énergie libre.
Mais qu’en est-il de l’usage de ces technologies prometteuses dans le domaine du civil ?
Qu’en est-il des populations qui auraient réellement besoin d’un accès vital à l’énergie, à l’eau potable ?
A Madagascar, la plupart des familles disposent de si peu d’eau potable, qu’il leur est impossible de faire la toilette de leurs enfants !
L’énergie d’accès facile permettrait de réaliser des forages, d’irriguer les cultures, et j’en passe.
Pourquoi, alors que les ingénieurs conçoivent des oléoducs et des gazoducs couvrant de milliers de kilomètres, les régions désertiques de notre globe ne sont-elles toujours pas irriguées convenablement ?
Que dire de ces journées entières où il ne cesse de pleuvoir et où se produisent des inondations un peu partout dans le monde ?
Pourquoi cela n’est-il pas fait, alors que l’homme a pu construire la grande muraille de Chine ?
La vie humaine en est-elle venue à valoir moins cher qu’un baril de pétrole ?
Voilà qui me consterne.
C’est sûrement pour cette raison que revient cette vision joyeuse de l’aqueduc transsaharien.
Ce n’est peut-être qu’une goutte d’eau dans un océan, mais après tout, qu’est ce qu’un océan, sinon une multitude de gouttes d’eau ? (ainsi que l’affirme le film stupéfiant Cloud Atlas)
En espérant que cette vision inspire ceux qui la liront, et qu’un jour béni, elle se réalise pleinement. La vision surgit comme le fil d’une histoire qui choisit de se dérouler à mesure que je m’efforce d’en restituer au mieux les images intenses.
Je vois la côte Nord de l’Afrique, la Terre a changé, cette zone autrefois éprouvante à traverser pour les voyageurs est devenue une zone paisible. On s’y sent parfaitement en paix et en sécurité.
Je vois un port, peut-être est-ce Alger ou Tunis, les maisons sont blanches et accueillantes, un peu comme à Chypre. Je vois une ville rayonnante, harmonieusement intégrée au paysage. Les distinctions sociales qui existaient entre les quartiers ont disparu.
Je vois une grande installation blanche donnant sur la mer avec des bassins circulaires. Il s’agit d’une zone de décantation des eaux côtières, en d’autres termes d’une station de dessalage de l’eau de mer.
Les bassins sont immenses, ils sont couverts et l’eau se condense sur les parois d’où elle est ensuite recueillie. A côté de ceux-ci existent des zones de pompages et des usines agréables de forme cylindrique. L’eau monte dans des tubulures et ressort dessalée par un procédé peut-être proche de l’électrolyse. Cela génère une énorme énergie de retraiter ainsi autant de milliers de litres d’eau. Je vois beaucoup de personnes travailler à ces installations. Des hommes, des femmes, mais aussi des enfants qui sont là pour étudier.
Je vois des arabes, des turcs, des soudanais, des européens, et même des asiatiques. Tout le monde est heureux d’être là et les gens se parlent volontiers.
Les clivages ethnico-religieux ont totalement disparu.
Tout cela ressemble à une sorte de visite guidée. L’installation est en partie souterraine et comprend d’énormes réservoirs.
Les réservoirs font au moins 70 mètres de profondeur. Je traverse des couloirs en pierre taillée. Cette installation ne ressemble pas aux usines actuelles. C’est un mélange entre une cave à vin et un réservoir d’eau potable moderne.
Je ressors du complexe.
Un groupe de personnes ravies attend à l’extérieur. Je crois que je parviens à mieux voir.
Un homme noir, habillé d’un costume très élégant parle devant les journalistes. Il prononce un discours, il est très ému.
Ils doivent inaugurer une installation pilote. Je vois des pancartes qui énoncent des phrases ressemblant à cela :
« Une main tendue aux autres pays du monde. »
« Faire un pont entre l’Orient et l’Occident, l’Asie, l’Océanie et l’Amérique, L’Afrique et l’Europe, cela passe par le partage des ressources. »
On voit une sorte de citerne donnant sur un tuyau énorme. Le tuyau doit faire entre 5 et 7 mètres de diamètre. Il se perd à l’infini dans les sables. Tout cela est gigantesque.
Je peine à croire à ce que je vois, et pourtant le tuyau est bien là, et ce tuyau contient de l’eau !
Les officiels se serrent la main, il existe des représentants de toutes les nations du monde, c’est un événement marquant.
L’un d’entre eux ouvre une vanne et l’eau fait un bruit assourdissant en entrant dans l’immense canalisation qui se met à trembler.
Tous les membres de l’assistance sont très émus. Ils savent que l’eau va aller dans les zones les plus desséchées d’Afrique. Les journalistes commentent l’événement sur toutes les chaînes mondiales.
Des reporters sont présents un peu partout. Bien sûr, beaucoup de membres de l’assistance sont bouleversés. Certains versent des larmes de joie.
Je vois la scène du dessus, il est possible que la région atteinte en premier soit le désert du Mali. A partir de là, l’aqueduc se divise en plusieurs ramifications.
On voit l’eau arriver dans les zones rurales qui en ont le plus besoin. Tous les gens sortent de chez eux, et se mettent à chanter. Ils sont fous de joie, car c’est leur pays qu’ils vont pouvoir voir renaître. Les anciens des villages sont là également, ils n’en croient pas leurs yeux.
On assiste ensuite à une activité intense. Des engins flottant en l’air se déploient, un peu comme des drones-caméras, mais ceux-là servent à semer des graines.
Le temps passe ensuite en accéléré. Au bout d’une année, les zones sableuses et rocailleuses se sont transformées en savanes. Les régions qui comportaient des savanes, donnent à présent des récoltes abondantes, comme cela peut être observé en hauteur, à la Jamaïque. Les pluies sont revenues, du fait de l’évaporation liée aux plantes.
Je vois beaucoup d’installations côtières se créer un peu partout sur le littoral, en Afrique, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud, mais aussi en Asie pour irriguer les déserts.
On assiste à la réduction progressive des dernières zones de malnutrition.
Ce qui est agréable, c’est de voir à quel point les gens sont calmes et vivent en phase les uns avec les autres, désireux de donner le meilleur d’eux-mêmes.
Comme la prospérité est beaucoup plus répandue, les dirigeants placés à la tête de chaque continent décident de se réunir. Ils sont conscients d’un fait, les frontières ne sont plus d’aucune utilité. Seules resteront les frontières entre les continents, mais celles-ci seront de nature purement géographique.
Les vagues d’immigration sont devenues pratiquement nulles pour la simple raison que toutes les régions du monde sont autosuffisantes et parfaitement en mesure d’offrir du bien être à leur population.
Je vois également des moyens de transport exceptionnels, des trains flottants qui circulent au dessus des mers et des terres. De tels trains permettent d’aller où l’on veut sur cette Terre du futur. C’est un lieu d’abondance. Chacun est libre.
Les gens qui ont traversé les sombres périodes antérieures dans lesquelles nous vivons n’ont presque plus de souvenir de cet état de choses.
Je les vois se réunir en petits groupes le soir pour discuter face au crépuscule rosé. Ils sont emplis de sérénité et de bienveillance. Les maisons sont confortables et couvertes de fleurs.
C’est la Terre du futur. Une Terre retrouvée, de bien-être et de paix, pour que règne le meilleur.
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